Le LAOS version du 13/12/2020

Laos signifie le Peuple de Dieu , la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain, ce qui n'est pas le cas dans la DEMOSOPHIE.

http://laosophie.chez.com

La Laosophie ou la science de la Politique et de la Démocratie telle qu'on l'appliquait au 7ème siècle AVJC sous la Poétesse SAPPHO de ERESOS, également Prêtresse d'Aphrodite, et imposant au Roi local les exigences du Peuple (Laos), dans l'île de Eresós (en grec moderne : Ερεσός) qui est une ville de l'île de Lesbos, en Grèce. et non SAPPHO la libertine qui habitait également cette île.

La Laosophie est la Libération du Peuple par le Libre Arbitre, elle ne sépare pas les élites du peuple, la Démosophie implique le démon dans les détails, elle est la servitude du Peuple par les élites que l'on extrait du Peuple. La manière d'extraire les élites, c'est l'obligation pour celles qui veulent le devenir d'une façon ou d'une autre, d'entrer en symbiose avec Satan, explicité à partir des hauts grades maçonniques et illuminati, à partir 30 ème et jusqu'au 33ème degré, selon Albert Pike, que le Grand Architecte n'est autre que SATAN-MOLOCH-BAAL-API-VEAU-D'OR, le Dieu des Hébreux dans les périodes obscures, par exemple entre Moïse et son frère Aaron dans le désert, qui construira le Veau-d 'Or pendant que Moïse reçoit les tables de la LOI JUIVE dite Mosaïque de D.ieu, et qu'Aaaron construit en lieu et place du Vrai D.ieu créateur de l'Univers, une représentation de Satan, ange déchu, mais bon à vendre encore chez les Maçons, ni Francs, ni Maçons.

Le grade 99 est tenu par le plus haut dignitaire du Sanhédrin JUIF, à la tête de la Religion Juive Pharisienne, comme il y a 2000 ans. 99e Sérénissime Grand Maître Mondial, Grand Hiérophante, Président du Souverain Sanctuaire International, Rite Maçonnique Egyptien, qui a valu aux Hébreux de retour d'Egypte, après libération par le frère Egyptien de Moïse, RAMSES II, Moïse ayant été adopté par le Pharaon d'Egypte, dans un berceau "moïse" voguant sur le Nil, à se retrouver dans le désert pendant 40ans à manger la manne de D.ieu, et à mourir pour 200000 d'entre eux, tués par les 200000 qui étaient restés fidèles à Moïse. 400000 étaient partis d'Egypte. http://monnaie.chez-alice.fr/egypte-fils.html Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. La Démosophie comme la Démocratie n'ont pas été choisies pour leur racine de Laïcité qui est LAOS, mais pour Démos ou Daîmon qui inclut la notion de Démon. « Daïmôn » est un mot grec dont nous avons fait « démon », mot qui connote un seul aspect du « monde daïmonique » : un aspect d'ombre et de tentation. Cette réduction représente un appauvrissement considérable des expériences humaines que recouvre le terme grec.

Toute culture a sa daïmonologie, c'est-à-dire une théorie et une expérience de puissances supra ou infrapsychiques (esprits, anges, archontes, archanges, génies, démons, démiurges, fravartis, [djinns](https://www.universalis.fr/encyclopedie/djinns/), [chérubins](https://www.universalis.fr/encyclopedie/cherubins/), éons, fées...) dont l'apparition peut signifier pour l'être humain une rencontre avec son propre destin : [salut](https://www.universalis.fr/encyclopedie/salut/), tentation, chute, oracle, conseil, guide, initiation, perte, présage... Ce polymorphisme ne signifie pas pour autant un illogisme. Au contraire, une phénoménologie de ces expériences montre qu'il s'agit d'une dimension humaine essentielle. Que les irruptions du daïmonique dans le monde humain se réalisent spontanément ou par une technique métapsychique ; il semble que ces puissances (H. Corbin parle d'« énergies ») se manifestent toujours comme des entités psychiques plus ou moins autonomes. Elles s'accompagnent de tout un ensemble caractéristique de visions, de voix, de traces sémantiques telles que blessures, brûlures, hématomes (ou au contraire d'une insensibilisation comme dans les marches sur le feu), de prémonitions, d'anamnèses, de sorties du corps, de lévitations, etc. Restée plus ou moins en friche dans le champ de la philosophie — le « démon de Socrate » n'est plus qu'une figure académique vide, une curiosité en marge de l'interprétation intellectualiste de la pensée grecque —, la daïmonologie a repris un singulier relief anthropologique depuis le début du XXe siècle. On peut présenter au moins trois champs de recherches dans les sciences humaines, qui abordent le daïmonique sous des éclairages complémentaires.

https://youtu.be/7AgqKzquX2o

LE NOM ÉGYPTIEN DE JOSEPH ÉCRIT SUR UNE STÈLE EN ÉCRITURE HIÉROGLYPHIQUE ALORS QUE L'HISTOIRE DU VICE ROI JOSEPH, PRATIQUEMENT L'ÉGAL DU PHARAON D'EGYPTE, QUI L'A NOMMÉ, N'EST PAS MENTIONNÉ SUR AUCUNE DES MILLIONS DE TABLETTES RETROUVÉES DE CETTE PÉRIODE, NI DES PAPYRUS ÉGYPTIENS RETROUVÉS DANS LES TOMBES. MÊME SES FRÈRES QUI SONT VENUS LE RETROUVER EN EGYPTE 13 ANS APRÈS, NE L'ONT PAS RECONNU PAR SES HISTOIRES DE FAMILLES AVANT L'ÂGE OÙ IL LES AVAIENT QUITTÉS, QUAND IL AVAIT 17 ANS. JOSEPH VICE-ROI. MIKETS : LE GOUVERNEMENT MONDIAL JUIF PAR LE PHILOSOPHE RONY KLEIN.

GENESE 41,1 A 44,17.

https://akadem.org/paracha/parachat-hachavoua-5781/mikets-le-gouvernement-juif/45183.php La PARACHA MIKETS ci-dessus revient sur cette première place qu'il ne faut pas tenir, ne pas briguer car entachée de corruption, à l'usurpation, au mal, à la haine, et à la déclaration de guerres contre l'humanité et les Peuples, et non contre les dirigeants corrompus comme l'est actuellement Netanyahu, qui a usurpé la Place de D.ieu, et qui promeut Israël, comme étant le fer de lance du pouvoir Mondial, avec son Nouvel Ordre Mondial, que soutiennent les Rothschild et autres Banquier qui émettent de la fausse monnaie, pour endetter et ruiner les Goyim, et les rendre esclaves de leur besoins de développement, besoins dont ils n'ont plus un très grand besoin, puisque le Plans et AGENDAS 21 ET 2030 prévoient la diminution drastiques des populations polluantes et soumises par l'argent, le Covid, les institutions, la République et ses Loges intégrées dans le Sanhédrin JUIF de la conquête Mondiale du Pouvoir absolu et de l'esclavage moderne, des réseaux pédophiles, de la traite des esclaves sexuels, de la drogue, de la fomentation et du financement des guerres fratricides, dont les Banquiers ont l'apanage avec le Prix Nobel du Marchand de canons. La mort programmée de 7 Milliards d'habitants de la terre serait l'œuvre et la volonté de ceux qui dictent leurs lois à Israël et qui tiendraient les USA sous contrôle d'Israël, selon HAIM, Le général à la retraite Haim Eshed, responsable du programme de sécurité spatiale d'Israël de 1981 à 2010, donc les Extras Terrestres car les Juifs ayant usurpé un pouvoir totalitaire au D.ieu Ténébreux et Miséricordieux des Hébreux qui leur demandent de toujours errer pour les fautes qu'ils ont commises, et qui n'ont toujours pas de légitimité d'habiter un Pays volé aux Palestiniens, qui en plus ont fait allégeances à des autorités qui ne sont pas D.ieu, et qui ne parlent plus de D.ieu dans le pouvoir Politique Corrompu de Netanyahu! Le Rav RON CHAYA cité encore plus bas, sais tout cela, il sait que moins de 1% de Juifs en Israël, appliquant la Thora et vivant suivant ses règles en Israël, sont éligibles devant D.ieu, et que les Villes d'Ashkelon et de Tel AVIV, pour ne citer qu'elles, seraient vouées au Feu de D.ieu, à l'image de Sodome et Gomorrhe, il sait également que la Thora a été manipulée pour combattre l'ennemi de toujours hérétique, la Chrétienté, il sait que le parisianisme dont il fait partie, et qui il y a 2000 ans n'était qu'une fraction de la population d'Israël avec une grosse dizaine d'autres courants.

Le Rav RON CHAYA, un Pharisien de l'esprit et non de la lettre. Il juge de la loi celui qui dit qu'elle est mal faite. Mais celui qui dit que dans tel cas il ne faut pas suivre la loi à la lettre, ne juge pas de la loi, mais d'un cas déterminé qui se présente. Il sait que tous les Politiciens depuis la création d'Israël sont véreux, et à fortiori les présidents et premier Ministres depuis le Roi David Ben Gourion.

Ce Rav nous pose 3 questions, comment se fait-ils que tous les Sionistes sont corrompus et mangent du porc sans sourcillier de l'oeil?

Dans son grand secret de la fin du Monde :

https://www.youtube.com/watch?v=GPf2FUNEPZ8&feature=emb_rel_pause

A VOIR ABSOLUMENT

Il pose le problème, car BIBI, Benjamin Netanyahou est un Roi des Roi, mis à la place de D.ieu Ténébreux des Hébreux Malicieux, qui aiment provoqué le bien en faisant le mal. Ce Bibi, terme gentil pour un Sioniste GOY, mangé par la corruption, et l'apartheid que son Pays génère avec l'exclusion du Peuple Palestiniens et des Arabes Israéliens qui n'ont pas les mêmes droits que les Juifs Blancs, non pas Hébreux mais à 88% Khazars Khazars, et à 12% Arabes.

 

Ce Rav sait que l'Etat d'Israël sera détruit à la fin des temps, en tant que Peuple de D.ieu, car D.ieu n'a pas changé son contrat avec les Juifs et les Chrétiens, qui sont admis à coexister dans des mêmes droits et des mêmes devoirs. Le prophète Amos, dont le nom signifie « porteur », était originaire de Tekoa (en), une ville du royaume de Juda, au sud de Jérusalem. Amos était berger et homme de la terre (Amos 1. 1 ; 7. 14). Sa connaissance de la vie agricole transparaît à plusieurs reprises dans sa manière de s’exprimer (Amos 2. 13 ; 3. 12 ; 4. 9 ; 5. 8 ; 6. 12 ; 7. 1, 2). Selon ses propres indications, Amos prophétisa aux jours des rois Ozias de Juda (791-740 av. J.-C.) et Jéroboam II d’Israël (793-753 av. J.-C.). La période pendant laquelle les règnes de ces deux rois coïncident s’étend de 767 à 753 av. J.-C., de sorte que le ministère du prophète Amos doit se situer principalement au cours de ces années.

Beaucoup de prophéties d'Amos invitent Israël et ses voisins à retourner à la justice.

Amos condamne Israël pour sa vie luxueuse, car les riches dépouillent les pauvres pour se bâtir des maisons d'ivoire, où ils festoyaient somptueusement.

Le jugement de Dieu sera exécuté à coup sûr, sur les nations voisines (Syrie, la PhilistieTyrÉdomAmmonMoab et Juda), mais surtout sur Israël pour avoir haï et maltraité leurs frères israélites, pour avoir opprimé les pauvres, pour avoir commis l'immoralité, et pour avoir traité irrespectueusement les prophètes et les naziréens suscités par Dieu. La punition divine est inexorable. Il n'existe aucun refuge où s'enfuir pour échapper, aucun lieu n'est hors de portée de Dieu. Finalement, les rescapés seront rassemblés et possèderont une sécurité durable.

Ce livre se réfère au reste de la Bible, il contient de nombreuses références à l'histoire biblique et aux lois de Moïse. Pour les chrétiens du ier siècle, les écrits d'Amos étaient divinement inspirés. Le martyr Étienne et Jacques, le frère de Jésus (Actes 15:14-18) ont attiré l'attention sur certaines de ses prophéties.

 

Il sait que pour le moment BIBI est poursuivi par les Tribunaux d'Israël, tenus encore par la main Divine? qui l'accuse de corruption généralisée, d'affaire des "4000".

https://fr.timesofisrael.com/affaire-4000-mandelblit-pourrait-revoir-linculpation-pour-pots-de-vin/

 

de l'affaire BEZEQ:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bezeq

 

https://www.lemonde.fr/international/article/2018/12/02/en-israel-la-police-recommande-l-inculpation-de-netanyahou-dans-une-troisieme-enquete_5391581_3210.html

 

Il sait (RAV RON CHAYA° que PAUL était du Sanhédrin Juif, et en tant que tel un des rares à pouvoir parler de NSJC:

1Agrippa dit à Paul: Il t'est permis de parler pour ta défense. Et Paul, ayant étendu la main, se justifia en ces termes: 2Je m'estime heureux, roi Agrippa, d'avoir aujourd'hui à me justifier devant toi de toutes les choses dont je suis accusé par les Juifs, 3car tu connais parfaitement leurs coutumes et leurs discussions. Je te prie donc de m'écouter avec patience. 4Ma vie, dès les premiers temps de ma jeunesse, est connue de tous les Juifs, puisqu'elle s'est passée à Jérusalem, au milieu de ma nation. 5Ils savent depuis longtemps, s'ils veulent le déclarer, que j'ai vécu pharisien, selon la secte la plus rigide de notre religion. 6Et maintenant, je suis mis en jugement parce que j'espère l'accomplissement de la promesse que Dieu a faite à nos pères, 7et à laquelle aspirent nos douze tribus, qui servent Dieu continuellement nuit et jour. C'est pour cette espérance, ô roi, que je suis accusé par des Juifs! 8Quoi! vous semble-t-il incroyable que Dieu ressuscite les morts? 9Pour moi, j'avais cru devoir agir vigoureusement contre le nom de Jésus de Nazareth. 10C'est ce que j'ai fait à Jérusalem. J'ai jeté en prison plusieurs des saints, ayant reçu ce pouvoir des principaux sacrificateurs, et, quand on les mettait à mort, je joignais mon suffrage à celui des autres. 11je les ai souvent châtiés dans toutes les synagogues, et je les forçais à blasphémer. Dans mes excès de fureur contre eux, je les persécutais même jusque dans les villes étrangères. 12C'est dans ce but que je me rendis à Damas, avec l'autorisation et la permission des principaux sacrificateurs. 13Vers le milieu du jour, ô roi, je vis en chemin resplendir autour de moi et de mes compagnons une lumière venant du ciel, et dont l'éclat surpassait celui du soleil. 14Nous tombâmes tous par terre, et j'entendis une voix qui me disait en langue hébraïque: Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. 15Je répondis: Qui es-tu, Seigneur? Et le Seigneur dit: Je suis Jésus que tu persécutes. 16Mais lève-toi, et tiens-toi sur tes pieds; car je te suis apparu pour t'établir ministre et témoin des choses que tu as vues et de celles pour lesquelles je t'apparaîtrai. 17Je t'ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t'envoie, 18afin que tu leur ouvres les yeux, pour qu'ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu'ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l'héritage avec les sanctifiés. 19En conséquence, roi Agrippa, je n'ai point résisté à la vision céleste: 20à ceux de Damas d'abord, puis à Jérusalem, dans toute la Judée, et chez les païens, j'ai prêché la repentance et la conversion à Dieu, avec la pratique d'oeuvres dignes de la repentance. 21Voilà pourquoi les Juifs se sont saisis de moi dans le temple, et ont tâché de me faire périr. 22Mais, grâce au secours de Dieu, j'ai subsisté jusqu'à ce jour, rendant témoignage devant les petits et les grands, sans m'écarter en rien de ce que les prophètes et Moïse ont déclaré devoir arriver, 23savoir que le Christ souffrirait, et que, ressuscité le premier d'entre les morts, il annoncerait la lumière au peuple et aux nations. 24Comme il parlait ainsi pour sa justification, Festus dit à haute voix: Tu es fou, Paul! Ton grand savoir te fait déraisonner. 25Je ne suis point fou, très excellent Festus, répliqua Paul; ce sont, au contraire, des paroles de vérité et de bon sens que je prononce. 26Le roi est instruit de ces choses, et je lui en parle librement; car je suis persuadé qu'il n'en ignore aucune, puisque ce n'est pas en cachette qu'elles se sont passées. 27Crois-tu aux prophètes, roi Agrippa?... Je sais que tu y crois. 28Et Agrippa dit à Paul: Tu vas bientôt me persuader de devenir chrétien! 29Paul répondit: Que ce soit bientôt ou que ce soit tard, plaise à Dieu que non seulement toi, mais encore tous ceux qui m'écoutent aujourd'hui, vous deveniez tels que je suis, à l'exception de ces liens! 30Le roi, le gouverneur, Bérénice, et tous ceux qui étaient assis avec eux se levèrent, 31et, en se retirant, ils se disaient les uns aux autres: Cet homme n'a rien fait qui mérite la mort ou la prison. 32Et Agrippa dit à Festus: Cet homme pouvait être relâché, s'il n'en eût pas appelé à César.

 

Il sait que tôt ou tard, mais plutôt sera le mieux, il reconnaîtra la descendance tumultueuse du Christ qui permet au mal de conduire la terre et d'être omniprésente.

Il sait que les Juifs de NEW-YORK, considèrent que D.ieu n'a pas permis de revenir dans les frontières et encore moins dans le Grand Israël. Ils sait que les Juifs de NEW-YORK et d'ailleurs, ultra orthodoxes, et malheureusement enclins pour certains à la pédophilie, sont Antisioniste.

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Il sait que des JUIFS disent que le Machia'h n'est autre que Jésus-Christ, comme ce rabbin Yitzhak Kaduri, très influent en Israël, qui a révélé, dans un document qui ne pouvait être ouvert qu’une année après sa mort, le nom du Messie attendu par les juifs. Lorsque ce document fut ouvert, ce fut la consternation dans tout le pays d' Israël et dans le monde Juif, car le document révéle que le Nom du Messie est  Yehoshua (Jésus)! Dans les derniers jours de sa vie, le Rabbin Yitzhak Kaduri parlait sans cesse de la venue très proche du Messie et de la Rédemption par ce même Messie. Il avait auparavant publié quelques portraits du Messie lui ne sont pas sans rappeler Celui du Nouveau Testament.

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Il sait que D.ieu Miséricordieux prendra en compte le bilan de chacun et celui des Juifs et des Chrétiens, tous deux pervertis par la fausse Eglise de Vatican II. Il sait donc que nous sommes dans le même bateau, une barque sans voiles et sans rames abandonnées sur la Mer face AUX SAINTES MARIES DE LA MER.

 

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Les pharisiens constituent un groupe religieux et politique de Juifs fervents apparu avec les sadducéens et les esséniens en Palestine lors de la période hasmonéenne vers le milieu du II siècle avant JC, en réponse à l'hellénisation voulue par les autorités d'alors. Initiateur de la Torah orale, préfigurant le rabbinisme actuel, ce courant de Pharisien, dénommé "de cercueil blanchi par Jésus Christ", s'inscrit dans le judaïsme du second Temple, dont il influence l'évolution. S'éteignant vers la fin du 1er siècle, il nous est connu au travers de différentes sources dont les études renouvelées depuis la fin du XXème siècle, ont souligné la difficulté d'en cerner la complexité. Leur courant est appelé « pharisaïsme » ou « pharisianisme ». Ce groupe de Pharisiens Politiques attachés à la terre que D.ieu a donné puis reprise, D.ieu et Jésus-Christ n'en voulaient pas, et n'en veulent toujours pas. Ils ont beau invoquer les Extras Terrestres qui ne sont nii dans la Bible, ni dans la Torah, ils n'y parviendront pas. Il y avait des géants sur terre à l'époque de Noé, mais pas d'extras terrestres mentionnés!, et la causalité est que Haim, parlant d'extras terrestres, pour sauver Israël de la risée, se sépare de toutes notions de Bible et de Torah véridique, en premplaçant D.ieu par des Extras Terrestres ou opération opération blue beam!

LE PHILOSOPHE RONY KLEIN ENSEIGNANT EN ISRAËL, LE SAIT BIEN EN PUBLIANT CETTE PARACHAT MIKETS, QUE LE GOUVERNEMENT D'ISRAËL VOULANT LA MAIN MISE SUR LE MONDE, QU'IL A DEJA AVEC LES BANQUIERS ROIS DE L'USURE, INTERDITS DANS LA TORAH, N'EST PAS LEGITIME POUR D.IEU, ET NOUS L'EN REMERCIONS DE BIEN LE PRECISER, QU'ISRAEL NE PEUT PAS PRENDRE LA PREMIERE PLACE. FACEBOOK EST DEVENU LE CHANTRE MOU DE LA CENSURE SYSTEMIQUE, DES QU'IL VOIT LE MOT KHAZZARD, avec un seul Z, il détruit l'article en train de s'écrire!!! Quand on dit que la Montagne de sucre est de la famille Rothschild, à la tête de serpent (tribu DAN), on n'en croit pas ses yeux! ((((Vous ne pouvez plus partager des liens jusqu’au mardi, à 03:25. Si vous pensez que ceci ne va pas à l’encontre des Standards de la communauté, dites-le nous.))))

Nous avons envoyé des virus indétectable sur Facebook, que nous mettrons en route, au bon moment, sauf s'ils nous foutent la Paix de D.ieu ou PAX DEORUM.

La Paix de Dieu est un mouvement spirituel et social des X e et XI e siècles, organisé par l'Église catholique et soutenu par le pouvoir civil. Son but est d'obtenir une pacification du monde chrétien occidental et de maîtriser l'usage de la violence dans la société.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Khazars#:~:text=Les%20Khazars%20sont%20notamment%20connus,la%20caste%20noble

L'Hébreu et l’Egyptien Quatre-vingt ans, c'est le nombre d'années pendant lesquelles Joseph occupa ses fonctions à la cour du Pharaon d'Egypte. Joseph avait trente ans lorsqu'il parut pour la première fois devant le maître de l'Egypte pour y interpréter les songes du Pharaon (Gen. 41:26). Il en avait cent-dix lorsqu'il mourut (Gen. 50:22, 26). Pourtant, de ce personnage biblique qui occupa les plus hautes fonctions de l'Etat, il n'est fait aucune mention dans les textes hiéroglyphiques. Se pourrait-il que son nom ne soit mentionné nulle part dans les archives de ce qui fut l'une des plus prestigieuses civilisations de notre Histoire ? En tout cas, peut-être pas sous son nom hébreu. Effectivement, le fait que le nom de Yossef ne soit mentionné nulle part dans les textes hiéroglyphiques de l'Ancienne Egypte a laissé fortement supposer les chercheurs et scientifiques, spécialistes de l'Egypte antique, que ce personnage biblique n'avait, en réalité, jamais existé si ce n'est dans les récits hébreux dont ils remettaient en cause la véracité. Pourtant, la Bible, quant à elle, nous conte dans le détail le parcours de ce jeune esclave adolescent, devenu Grand Vizir de l'un des plus prestigieux empires de l'Antiquité. Ayant intégré ses fonctions à la cour de Pharaon, le jeune Joseph, tout comme Daniel à la cour du roi de Babylone, va recevoir un nouveau nom, il va se vêtir à l'égyptienne, et se former aux responsabilités qui vont être les siennes.

En tant que personnage important à la cour, Joseph va endosser différentes fonctions, diverses responsabilités auxquelles correspondront différents titres, mais également des noms différents. La Bible nous donne l'un de ces noms : "Tsaphnath-Paenéach" (Gen. 41:45). Ce nom pourrait signifier, en hébreu, "celui qui révèle les secrets", et en langue égyptienne, "le pourvoyeur du pays" (en souvenir de la façon dont il sauva l'Egypte de la famine). Pourtant, malgré le rôle essentiel que Joseph y a joué, on n'en avait retrouvé aucune trace dans les mémoires de l'Egypte antique, jusqu'à ce que, au siècle dernier, au cours de l'année 1935, deux égyptologues français, Alexandre Varille et Clément Robichon, fassent une découverte fort intéressante et très étonnante dans un temple-tombeau de Haute-Egypte, dans la ville de Thèbes, face à la fameuse Vallée des Rois, sur l'autre rive du Nil. Cette découverte devait les inciter à repartir sur les traces de Joseph l’égyptien. Les deux français s'étaient penchés sur une fresque hiéroglyphique représentant un certain Imhotep, personnage illustre de l'Egypte antique, également appelé Amenhotep. Mais cette fresque présentait une singulière particularité. Pour comprendre ce qui suit, il faut savoir que les inscriptions hiéroglyphiques peuvent se lire de droite à gauche ou de gauche à droite, de même qu'elles peuvent être rédigées de manière à être lues de haut en bas ainsi que de bas en haut. La position du visage des personnages donnant le sens de la lecture. Les visages des personnages peints par les Égyptiens sont toujours de profil. Ainsi, si le visage est tourné vers la droite, il faut lire les inscriptions de droite à gauche. Si le visage est tourné vers la gauche, il faut les lire de gauche à droite.

L'Egypte antique a connu nombre d'Amenhotep et d'Imhotep. Plusieurs pharaons de différentes dynasties ont porté ces noms, mais le Imhotep dont il est fait mention sur cette fresque n'est pas un pharaon, mais un personnage très haut placé qui a connu un destin hors du commun. Sur la fresque découverte par les deux archéologues français, Il est désigné tout d'abord par sa fonction avant d'être nommé. Son nom est précédé d'un hiéroglyphe qui désigne un scribe. Mais Imhotep fut appelé "Grand scribe", ce qui signifie qu'il occupait une position particulière à la cour. Selon Varille, Imhotep était un homme polyvalent, à la fois Grand Vizir, premier ministre, général, directeur des ressources humaines, grand scribe, architecte, médecin et théologien, ainsi qu'un homme extrêmement cultivé. Il occupa ses fonctions sous le règne du Pharaon Djézer. Il nous aurait été bien utile que la Bible mentionne les noms des différents pharaons dont font échos les récits bibliques, mais malheureusement, ce n'est pas le cas. En fait, la Bible ne mentionne aucun nom des différents rois d'Egypte. On pourrait s'interroger sur le silence des Écritures sur ce sujet alors que les monarques babyloniens le sont explicitement. Le Rav Ron Chaya donne à cela une explication fort plausible. Le récit biblique, bien qu'il s'inscrive dans un continuum historique, n'en demeure pas moins un texte à dimension prophétique. La notion de Pharaon a, en soi, quelque chose d'intemporel. Les récits bibliques sont porteurs de concepts valables à n'importe quelle époque. Le personnage de "Pharaon" (ce qui signifie "maître du palais") peut, par analogie, représenter tyran, despote, dictateur de quelque époque que ce soit, tout en demeurant le personnage historique mentionné dans le récit biblique. Mais revenons à Imhotep. Sur cette fresque, le visage de celui-ci est représenté comme étant tourné vers la gauche, c'est donc par la gauche qu'il fallait débuter la lecture. Mais un détail va créer une profonde perplexité dans l'esprit des deux archéologues.

Le nom d'Imhotep est écrit, lui, à l'envers du texte, de droite à gauche, alors que le texte est rédigé de gauche à droite, dans le sens indiqué par les personnages qui y figurent. Pourquoi cette singularité ? Divers documents égyptiens montrent que Imhotep / Amenhotep était d'origine sémitique. Faut-il y voir un rapport avec le fait que l'écriture hébraïque se lise, elle aussi, de droite à gauche ? Se basant sur les découvertes de ses prédécesseurs, le Professeur Davidovits, égyptologue français, a avancé l'hypothèse que l'Imhotep dont il est fait mention sur cette fresque ne serait autre que le Joseph du texte biblique. Amenhotep, Imhotep, ces noms désigneraient ainsi un seul et même homme : Joseph fils de Jacob qui fut haut dignitaire à la cour du Pharaon Djezer. Plusieurs Pharaons ont porté les noms d'Imhotep, d'Amenhotep ou sa version grecque : Amenophis, peut-être en hommage à cet homme exceptionnel que fut celui dont il est fait mention sur la fresque découverte par les deux archéologues. Mais pour ce qui est de l'identité de cet Imhotep, d'autres éléments semblent venir conforter l'hypothèse que celui-ci est bien le Joseph dont parle le récit biblique. Tsaphnath Paenéach Le texte biblique nous dit que Pharaon donna Asnath, fille de Potipherâ, prêtre d'On, à Joseph pour femme (Gen. 41:45). Asnath s'écrit, en hébreu, avec les lettres A.S.N.T. (aleph, sameh, noun, tav). Les deux premières lettres de ce nom, mises ensembles, forment le mot "as" qui signifie en hébreu "terre étrangère". Ceci peut laisser supposer que la femme de Joseph (bien qu'elle soit fille d'un grand prêtre) n'était pas née égyptienne.

Or, il se fait que, d'après les écrits égyptiens, la femme d'Imothep aurait été d'origine libyenne et portait le nom de Néïth. Elle était donc "as-Néïth".Un nom qui, phonétiquement, se rapproche très fort de celui de la femme de Joseph, Asnath. Une telle similitude pourrait nous conforter dans l'idée que la femme de Joseph et celle de Imhotep n'étaient en réalité qu'une seule et même personne. Si c'est bien le cas, cela nous donne une indication sur l'origine de la femme de Joseph : elle était libyenne. Ce détail pourrait paraître sans importance s'il n'était à considérer la descendance de Joseph. Car de ce couple naîtra deux fils : Manassé et Ephraïm. De ces deux fils sont issues deux des tribus d'Israël, portant toutes deux une triple ascendance ethnique. Mais ils sont également sémites par leur père et chamites par leur mère (Cham, fils de Noé, ayant engendré, entre autres, les peuples d'Afrique du Nord, d'où sont issus Égyptiens et Libyens). "Pharaon appela Joseph du nom de Tsaphnath Paenéach et lui donna pour femme Asnath, fille de Potiphéra, prêtre d'On" (Gen. 41:45a). Le mot "nathan" signifie entre autres "accorder, permettre", ce qui peut laisser supposer que ce ne fut pas un mariage arrangé mais qu'il correspondait à un choix, de la part de Joseph tout au moins. Il n'était pas de coutume, à la cour de Pharaon, que les hauts dignitaires se marient avec des femmes qui n'étaient pas égyptiennes. Il faut donc supposer que le pharaon donna son accord, même si celui-ci allait à l'encontre des coutumes usuelles. Néanmoins, le fait qu'Asnath ait été la fille d'un haut dignitaire religieux peut laisser perplexe quant au choix de Joseph. Il aura désormais comme beau-père le grand prêtre d'une religion idolâtre pratiquant magie et divination. Je pencherais donc plus volontiers pour l'hypothèse d'un mariage arrangé où l'opinion de Joseph, malgré la position élevée de celui-ci, ne pouvait que se soumettre à la volonté souveraine du Pharaon.

Toujours est-il qu'Imhotep, tout comme Joseph, épousa une femme qui n'était pas égyptienne. Des signes et des lettres J'en reviens au nom égyptien de Joseph, Tsaphnath Paenéach. "Celui qui révèle les secrets" aurait-il quelque chose à nous faire connaître sur l'identité véritable de cet Imhotep ? J'ai fait mention plus haut de ce qui avait provoqué la perplexité des deux archéologues lorsqu'ils découvrirent cette stèle sur laquelle le nom d'Imhotep était écrit "à l'envers". Or, une lecture attentive du nom deTsaphnat Paenéach en hébreu permet de déceler un petit détail. Le mot "tsaphnat" s'écrit en hébreu "tsadé, pé, noun, tav" (Ts, P, N, T). Or, sous la première lettre du nom, sous le tsadé, il y a un signe de ponctuation sous la forme d'un petit trait vertical. Ce trait indique habituellement la fin de la phrase. Or, cette ponctuation (équivalente à un point) se trouve au milieu de la phrase. Le texte biblique (le Tanach) comporte plusieurs de ces "anomalies". Celles-ci ont généralement pour but d'attirer l'attention du lecteur. Il faut donc s'y arrêter et s'interroger sur ce que pourrait en être le sens. Le Seigneur Jésus, qui bien évidemment connaissait parfaitement les Écritures, a dit :"que celui qui lit fasse attention" (Matth. 24:15) en parlant de certaines prophéties du livre de Daniel, soulignant ainsi la nécessité de redoubler d'attention lorsque l'une de ces particularités apparaissait dans le texte. Mais cet avertissement du Seigneur vaut également pour toute l'Ecriture. Ainsi, cette ponctuation, ce "point final" sous la première lettre du nom, apparaît de manière à attirer l'attention du lecteur sur le nom de Tsaphnat Paenéach.

Comme si cette première lettre était en réalité la dernière, invitant ainsi le lecteur à s'interroger sur le sens de la lecture de ce nom, tout comme pour le nom du très fameux Grand Vizir que fut Imhotep. Mais il y a plus encore. Car si le nom d'Imhotep a été écrit à l'envers (dans le sens contraire de la lecture usuelle), le Professeur Davidovits a également découvert que le nom de Tsaphnath Paenéach, lu à l'envers, correspondait phonétiquement à celui du personnage mentionné sur la stèle découverte dans le temple funéraire du fameux Imhotep. Cette découverte conforta l'opinion du Professeur Davidovits sur l'identité de ce personnage comme étant bien le Joseph de la Bible. Le nom de Tsaphnath commence donc par la fin. Ainsi, son nom lui-même comporte un "secret". Mais n'est-ce pas justement pour que ceux qui s'interrogeront sur la véritable identité d'Imhotep sachent qu'il est bel et bien ce Tsaphnath Paenéach qui occupa les mêmes fonctions que lui, eut une femme étrangère tout comme lui et, tout comme lui, était d'origine sémite ? On sait également d'Imhotep qu'il était "fils d'Hapou". Or, en langue égyptienne, "hapou" signifie "celui qui est caché". Joseph, quant à lui, ne révélera son identité sémitique que bien plus tard aux égyptiens. Son père était inconnu, son nom n'avait pas été cité à la cour. Imhotep, tout comme Tsaphnath Paenéach, aurait-il gardé secrète l'identité de son père ? Mais pourquoi ? "Celui qui est caché",cette expression rappelle également l'attitude de Jacob qui dissimula son identité, se faisant passer pour son frère afin d'obtenir d'Isaac, son père, sa bénédiction. Ainsi, Hapou ne serait autre que Jacob, le père de Joseph / Imhotep. Houy fils d'Hapou Imhotep / Amenhotep est aussi appelé "Houy". Or, le hiéroglyphe qui représente son nom peut se lire phonétiquement "hou ophis y". Nous avons vu que dans le texte de la stèle, le nom d'Imhotep est écrit "à l'envers".

Dans le texte biblique, la première lettre du mot "Tsaphnath"(première partie du nom égyptien de Joseph) porte un signe de ponctuation symbolisant la fin d'une phrase (comme si cette ponctuation indiquait qu'il fallait lire le texte "à l'envers"). "Que se passerait-il si on lisait le mot "houy" à l'envers ?" s'est demandé le Pr. Davidovits. Cela donnerait "Y sioph hou". Phonétiquement, cela se rapproche étonnement du mot "yossefou" (Yossef). Les personnages d'Imhotep / Houy, fils de Hapou, et de Joseph fils de Jacob semblent bien se calquer l'un sur l'autre. Bien sûr, ces rapprochements phonétiques semblent un peu hasardeux, mais il faut tenir compte du fait que d'une langue à l'autre, un mot n'est jamais prononcé de façon identique. Mais alors, ce "père caché" d'Imhotep ne serait autre que Jacob ?... "Et quand Jacob eut achevé de donner ses commandements à ses fils, il retira ses pieds dans le lit et expira, et fut recueilli vers ses peuples. Et Joseph se jeta sur le visage de son père et pleura sur lui, et le baisa. Et Joseph commanda à ses serviteurs, les médecins, d'embaumer son père, et les médecins embaumèrent Israël. Et quarante jours s'accomplirent pour lui car ainsi s'accomplissaient les jours de l'embaumement. Et les Égyptiens le pleurèrent soixante-dix jours" (Gen. 49:33, 50:3, Darby). Les périodes correspondent bien avec les pratiques d'embaumement, ce qui vient confirmer l'authenticité du récit. Jacob était mort et c'était Israël (celui qui avait lutté avec l'ange de Dieu) qui était embaumé. On retrouve ici aussi cette double identité de celui qui fut longtemps "Hapou, celui qui est caché". Mais le texte biblique comporte, dans sa version originelle, une particularité. Le texte dit : "Ilretira (wayèsof) ses pieds dans le lit... et fut recueilli (wayèâsef) vers ses peuples" (ou "vers ceux de son peuple"). Ces deux mots s'écrivent avec les mêmes lettres (vav yod aleph sameh fé). Il serait intéressant de s'interroger sur cette similitude entre ces deux faits, mais ce n'est pas ici le sujet. Par contre, il y a un détail qui attire tout de suite l'attention. Ces deux mots sont tous deux écrits avec les lettres du nom de Joseph (yod vav sameh fé).

Le nom de Yossef ne comporte cependant pas la lettre aleph, mais les Sages d'Israël disent que cette lettre représente la personne même de Dieu. Ainsi, si l'on retrouve le nom de Yossef dans l'orthographe de ces mots, une autre subtilité se trouve là, au cœur même de ces mots, quelque chose qui témoigne de l’écartèlement du cœur de Yossef à la mort de son père. Le positionnement de ces lettres semblent donc exprimer quelque chose de la douleur du fils endeuillé. Comme si son cœur s'était écartelé. Le cœur de Yossef, tout son être étaient brisés, déchirés par la douleur, mais Dieu (symbolisé par la lettre"aleph") demeurait au centre de sa vie. Le texte souligne, en filigrane, le lien indéfectible qui attachait Joseph à son père, et Jacob à Joseph. "Et Joseph se jeta sur le visage de son père et pleura sur lui, et le baisa". Le chagrin déchira le cœur de Joseph lorsque son père expira. Jacob était mort, et les médecins embaumèrent Israël. Si les lettres du nom de Joseph sont présentes dans ces deux mots (wayèsof et wayèasef),elles marquent l'attachement indéfectible qui relie les deux hommes, jusqu'à accompagner Jacob dans le geste ultime qui précède sa fin. Et le corps de Jacob fut ramené en terre de Canaan pour y être enseveli. Ses fils l'accompagnèrent jusqu'à sa dernière demeure, puis ils revinrent en Egypte. Deux vieillards Bien des détails semblent rapprocher ces deux hommes que furent Joseph et Imhotep, et ce jusqu'à ce qu'ils aient atteint tous deux un âge avancé.

Il y a en Egypte, sur la rive occidentale de la ville de Thèbes, deux statues gigantesques dont on doit la construction à Imhotep. Il aurait eu, à cette date, l'âge de quatre-vingts ans et, mentionne-t-il, il espère atteindre l'âge de cent-dix ans. Il écrit : "J'ai atteint l'âge de quatre-vingts ans, je suis comblé de faveurs auprès du roi et j'accomplirai cent-dix ans". Cette phrase a été gravée sur le socle de l'une des deux statues qu'il avait faites ériger. Le livre de la Genèse nous parle également d'un vieillard : "Joseph demeura en Egypte, lui et la maison de son père. Il vécut cent-dix ans" (Gen. 50:22). Et comme je l'ai écrit en début de cet article : "Quatre-vingts ans, c'est le nombre d'années pendant lesquelles Joseph occupa ses fonctions à la cour du Pharaon d'Egypte". Dans leur vieillesse comme dans leur mort, ces deux hommes n'ont cessé de marquer la similitude de leur existence. Mais peut-être s'agissait-il vraiment du même homme ? Mais alors, lorsque Imhotep / Joseph dit : "J'ai atteint l'âge de quatre-vingt ans", se pourrait-il qu'il n'ait compté que les années de sa vie passées en Egypte au service du Pharaon, occultant ainsi les trente années précédentes ? Dans ce cas, il se peut qu'Imhotep avait bien atteint l'âge de cent-dix ans lorsqu'il fit rédiger ce texte sur le socle de la statue. Si c'est le cas, ce fut là l'achèvement de son oeuvre puisqu'il dut mourir la même année. Il se peut que ce mystère ne soit jamais élucidé totalement, tous deux emportèrent ainsi ce secret dans leur sarcophage. Mais peut-être qu'un jour, des sables du désert, sortira la preuve irréfutable de cette double identité. Et lorsque, bien plus tard, Moïse conduisit le peuple Hébreu hors d'Egypte, il y avait parmi les chariots, un char égyptien qui transportait un étrange coffre. C'était le sarcophage de Joseph / Tsaphnath Paenéach, "celui qui révèle les secrets". D'autres ne virent peut-être en lui que le grand homme que fut Imhotep. Mais il se peut que la véritable identité de ce célèbre égyptien de l'Antiquité demeure à jamais dans ce sarcophage.

LES JUIFS SONT DE KHAZARS A 88% SIONISTES, 12% SONT DES MUSULMANS ISRAELIENS.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Khazars#:~:text=Les%20Khazars%20sont%20notamment%20connus,la%20caste%20noblehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Khazars#:~:text=Les%20Khazars%20sont%20notamment%20connus,la%20caste%20noble

 

HISTOIRE DE L'EGLISE ANTIQUE DE SAINT BAUZILLE DE MONTMEL, PIC SAINT LEON LE GRAND, FOUILLES DEPUIS LE 19ème SIECLE. CETTE FOUILLE EST LA DERNIERE ET DATE DES ANNEES 1973 à 1985. L'ARCHEOLOGUE MICHEL MARIE DUFEIL (1922-1991), ET L'ARCHEOLOGUE JEAN-CLAUDE LOUISTISSERAND DANS LE GROUPE EN PHOTO.

LA GRANDE RUSSIE DU PRESIDENT VLADIMIR POUTINE, ET L'EGLISE ORTHODOXE N'ONT PAS VOULU VENDRE POUR QUE TOUT SOIT RASE, COMME SUR LE TERRAIN LIMITROPHE DE LA MAIRIE, QUI COMPORTAIT DES JOYAUX DE L'EPOQUE ROMAINE ET WISSIGOTH, ET QUI SONT DETRUITS A JAMAIS. ALORS QU'ON NE REMONTAIT PAS A L'EPOQUE ROMAINE AVEC LES PRECEDENTS ARCHEOLOGUES, NOUS AVONS DECOUVERT QUE CE LIEU DATE DU Xème SIECLE, ET ETAIT EN REALITE L'EGLISE PRIMITIVE DE SAINTE MARIE MADELEINE, COMPAGNE DU CHRIST ET DISCIPLE, APPELEE EGALEMENT L'APÔTRE DES APÔTRES. UN AUTEL EST UN MIKVE COURONNE LE TOUT AVEC DES CHOSES QUE NOUS NE POUVONS PUBLIER POUR LE MOMENT TELLEMENT LA DECOUVERTE EST IMPORTANTE. SUR LAOSOPHIE OVERBLOG VOUS DECOUVRIREZ LES ARTEFACTS ROMAINS, ET L'INTENTION DU PRESIDENT POUTINE DE S'Y RENDRE LE 21 JUILLET 2018, POUR CE RECUEUILLIR DANS CETTE DOMUS ECCLESIAE CHRISTI MUNIVIT, LA PREMIERE AU MONDE. EN PLUS DE L'ARCHEOLOGIE, DE L'INFORMATIQUE EN ETANT PARTENAIRE DE MICROSOFT DEPUIS 1977 AVEC LA SOCIETE DATA-SOFT, Mr LOUISTISSERAND, CHRETIEN CATHOLIQUE BAPTISE, DE LA FAMILLE DU CARDINAL TISSERANT, A PASSE 10 ANS DANS LA COMMUNAUTE JUIVE DE MONTPELLIER DE 1991 A 2000, AVEC UN VOYAGE EN ISRAËL EN 92, OU IL S'EST FAIT BAPTISE DANS LE JOURDAIN ET EST DEVENU UN CHRETIEN JUIF HAREDI.

MAX LEVITA PEUT EN TEMOIGNER.

Le mikvé (ou mikveh) (en hébreu : מִקְוָה ; au pluriel : מקואות mikvaot) est un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté familiale dans le judaïsme. C'est l'un des lieux centraux de la vie communautaire juive, avec la synagogue et l'école juive (yeshiva). http://laosophie.over-blog.com/2018/01/wwiii-le-president-vladimir-poutine-en-france-pour-le-samedi-21-juillet-2018-a-saint-bauzille-de-montmel.html

Monsieur Louistisserand, en tant que gérant a donné la réponse aux intéressé, concernant la vente du terrain, à son ami Max Levita, ex premier adjoint de la Mairie de Montpellier:

Jc Louis <jclouis88@gmail.com>à:Françoise Matheron <f.matheron@gmail.com>, ambrusfrance@mid.ru, "LEVITA, Max" <max.levita@ville-montpellier.fr> Date:26 juin 2020 19:55

Objet:Fwd: URGENT : Saint-Bauzille de Montmel, Accords non respectés, demandons conciliateur !

Envoyé par:gmail.com A l'attention de Madame La Maire Françoise Matheron et à Monsieur le Ministre de Russie Artem Studennikov,

Bonjour, j'ai bien reçu votre proposition, les parts de propriétés comme vous l'avez appris de Mr Hervé Mathias, qui a joint l'Ambassade Russe de France, sont au nom de la Fédération de Russie, cédées par notre SCI, jusqu'à preuve du contraire, elle n'accepte pas vos propositions actuelles, sauf courriel éventuellement à venir, précisant qu'ils sont prêt à céder ces parts et sous quelles conditions.

Nous vous rappelons que ce terrain est dans les mains de la communauté religieuse et cultuelle, ainsi que dans celles d'architectes des Monuments Historiques et de la Communauté des Archéologues Scientifiques, dont je fais partie, et qu'il devra être clos par vos soins, avec un gardiennage jour et nuit, car vous en assurez la protection et éventuellement les dommages.

Nous rendons hommage au Ministre Mr Artem Studennikov, et au Président de la Grande Russie, Mr Vladimir Poutine, qui a reçu ma demande en direct au Kremlin, enregistrée comme Mr Studennikov pourra vous le confirmer, et qui devait venir sur le terrain, parcelle 258 en 2018, comme les articles de Laosophie, le précisent. Mr Studennikov a quitté l'administration de l'association de Sauvegarde de l'Église Antique de Saint Bauzille de Montmel, en tant que diplomate et sur ma demande, compte tenu que le Président Poutine doit donner sa décision, de garder ce terrain avec l'Eglise Orthodoxe du premier siècle qui s'y trouve et d'en faire cadeau à l'Eglise Orthodoxe où d'en faire cadeau à Saint Bauzille de Montmel, avec ses conditions.

Nous faisons toute confiance dans le Président de la Grande et Sainte Russie, dans le Cœur Immaculé de la Vierge Marie, et en tant que membre de la famille du Cardinal Tisserand et de son successeur le RP Robert Maire Du Poset dont nous détenons les documents qui en prouve son origine, par le Pape Saint Léon le Grand, qui a donné le nom à ce promontoire ou Pic en latin, d'où la désignation Pic Saint Léon.

Nous avons demandé un rendez-vous de conciliation à Monsieur Max Levita, vous devriez avoir notre courriel et les revendications, dans la suite des messages adressés à la Mairie de Montpellier, sinon rdv avec Mr Altrad. Nous avons également demandé à la Fédération de Russie un émissaire pour cette négociation.

Très cordialement Jean-Claude Louistisserand, Ingénieur CNAM et Archéologue ayant travaillé sur le site, avec les responsables des fouilles, dont Mr Michel-Marie Dufeil, qui m'a donné tout son dossier et la capacité de poursuivre par la DRAC. Je vous recommande son ouvrage donnez-nous réception de cet envoi et du PDF Denis-Chanson-3 qu'il contient http://laosophie.chez.com/Sauvegarde-eglise-st-bauz-chanson-3.pdf

 

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Laos, le peuple. Ecclesia, l’assemblée. Ce sont deux mots grecs qui nous occupent. Mais il faut être plus précis. Laos, c’est le peuple en tant que foule, masse non organisée, un tas d’individus particuliers. Le laos s’oppose donc au demos, qui est le peuple pris dans sa dimension politique. L’ecclesia, elle, c’est l’assemblée ou la convocation du demos, le peuple certes, mais le peuple appelé car tel est l’étymon de l’église : kaleo, j’appelle, d’où clameur, clairon, clarté, calendes, calendrier, nomenclature, concile, proclamation ou chamade, qui ont tous le même radical indo-européen KLE. L’église c’est donc l’appel au peuple, au laos qui, convoqué, devient demos. Quand l’église a le pouvoir, cela a un nom :démocratie.

Puis vinrent les Septante. La Septante (LXX, latin : Septuaginta) est une version de la Bible hébraïque en langue grecque. Selon une tradition rapportée dans la Lettre d'Aristée (IIe siècle av. J.-C.), la traduction de la Torah aurait été réalisée par 72 (septante-deux) traducteurs à Alexandrie, vers 270 av. J.-C., à la demande de Ptolémée II.
Par extension, on appelle Septante la version grecque ancienne de la totalité des Écritures bibliques (l'Ancien Testament). Le judaïsme n'a pas adopté la Septante, restant fidèle au texte hébreu, et à des traductions grecques ou araméennes (Targoum) plus proches dudit texte.

Ils choisirent laos pour dire le peuple de Dieu, car demos sans doute était trop politique c’est-à-dire, paradoxalement, trop laïque au sens courant d’aujourd’hui : humain, trop humain… C’est ainsi que laïque finit par désigner jadis le peuple chrétien, c’est-à-dire l’Église, l’assemblement des hommes à l’appel du Fils. C’est le premier sens du mot laïque dans nos langues, il convient de ne pas l’oublier. Excusez-moi de remonter aux calendes, c’est-à-dire, comme je viens de le rappeler, à la clameur d’église, au concile divin. Mais nos histoires sont sédimentées dans la langue et il n’y a que des Katherine Weinland pour y voir les couches d’un passé à « dépoussiérer ».

Telle est l’origine du mot laïque : il désigne l’ecclesia, les membres de l’Église ou peuple de Dieu à l’exclusion de ceux qui, ayant entendu un Appel plus pressant, sont devenus clercs, c’est-à-dire – j’y reviendrai – séparés. Clergé régulier, clergé séculier et laïcs, tous membres de l’Église, c’est de là qu’il faut partir.

Vous me direz que les mots ont changé de sens et que laïcité désigne pour nous, aujourd’hui, la séparation du politique et du religieux. Voire. Cette histoire-là aussi est bien ancienne. Ce n’est pas la Troisième République, ni même Condorcet, qui ont inventé la chose. Elle remonte à 586 avant Jésus-Christ, première destruction du Temple. Privés de pouvoir politique, les Juifs ont attendu jusqu’en 1947 pour pouvoir construire, quoi ? un état laïque, le seul de la région avec la parenthèse irakienne, qui n’en a plus pour très longtemps. Pendant 2533 ans, le peuple élu a vécu la séparation du politique et du religieux, non sans souffrances, on le sait. Sans Juges et sans Rois. Avec pour seul appui, la promesse du Livre.

Et les chrétiens eux-mêmes n’ont-ils pas eu pour mot d’ordre la séparation, le partage des Royaumes ? A César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu, parole du Christ. Et qu’est-ce qu’un clerc ? Un séparé par le sort, kleros, par le coup tiré. On est prêtre par un coup du sort, un appel. Kolaphos en grec, colpus en latin, golpe en espagnol, le coup, le couperet, la coupure : c’est l’étymologie de clergé, des séparés à l’intérieur même du laos chrétien.

La confessionnalisation des états contre quoi se sont battus les partisans de la laïcité au sens contemporain est chose beaucoup plus récente. Elle commence dans les années 1560-1570 dans une Europe ravagée par les guerres de religion. Réforme et Contre-Réforme. Cujus regio ejus religio, un autre partage, une autre séparation, politique et géographique (roi et région ont même étymon) pour mettre fin à la guerre civile des religions. Quoi que nous puissions en penser aujourd’hui, ce fut une bonne chose, la meilleure dans le meilleur des mondes, au sens leibnizien bien sûr. Puis vinrent les Lumières. Certains pensèrent qu’il convenait de séparer ce qui venait d’être uni deux siècles avant : l’Église et l’État. Pourquoi pas ? La guerre ne menaçait plus entre catholiques et protestants et l’alliance du trône et de l’autel, du sabre et du goupillon, présentait plus d’inconvénients désormais que d’avantages. Mais il est une chose que les plus républicains d’entre nous ne devraient point oublier : l’Europe des États n’existerait pas, faute d’États, s’il n’y avait d’abord eu ce processus de confessionnalisation. Louis XIV, celui qui révoqua l’Édit de Nantes, fut le premier Jacobin.

Tout ce que je viens de dire est histoire faite, finie. Elle ne se répètera pas. Jamais le temps ne revient sur ses pas. Mais il convenait, je crois, de le dire. Car nous parlons de choses qui s’inscrivent dans la longue, la très longue, durée. Il faudrait en retenir au moins ceci : le laos d’aujourd’hui n’est certes plus le laos athénien ni celui des Septante mais il n’est pas davantage celui de Combes ou de Condorcet. La confessionnalité des États n’est plus et, par conséquent, la laïcité à l’ancienne a cessé, elle aussi, d’avoir place dans la polis démocratique. Reste le laos, car c’est toujours lui, le problème. La démocratie peut être détruite, on en a maint exemple. Mais pas la laocratie. Le peuple en tant que laos ne peut être dissous puisqu’il l’est déjà, atomisé, non assemblé par un Appel symbolique.Le pire ennemi du peuple, c’est devenu le peuple lui-même, le laos qui est en train de défaire le demos au sein même des démocraties contemporaines.

On commence à peine à mesurer l’impact de la fin du communisme. Repoussoir pour les uns, espoir pour les autres, peu importe. Mais ce qui est sûr, c’est qu’à deux siècles exactement de distance, la chute du Mur de Berlin a répondu à la Prise de la Bastille, bouclant ainsi la boucle de la Révolution. Or la Révolution aura été, au cours de ces deux siècles, la clameur du laos. Un opérateur symbolique qui, comme le montre Milner, a permis pour la première fois de penser ensemble la révolte et la pensée. « Révoltes logiques », avait dit Rimbaud, repris par Rancière. « On a raison de se révolter », clamions-nous naguère, et déjà en vain, aux portes des usines.

Faute de messianisme révolutionnaire, on nous appelle à la grand messe du marché. C’est cela, l’individualisation des conduites et des comportements, inséparable de la nouvelle démocratie : triomphe du laos, en tant qu’il signifie l’éparpillement du demos. Et ce processus affecte pareillement toutes nos institutions, l’État, l’Église, l’École, les députés et les ministres, les prêtres et les professeurs, progressivement remplacés par les démagogues du sondage d’opinion, les funambules de la foi et les gourous de la pédagogie. Ce processus s’appuie sur l’effondrement des structures symboliques de la culture et promeut le présent sans ancrage d’un imaginaire où l’individu se croit d’autant plus lui-même qu’il ressemble comme une goutte à son alter ego dans le miroir : de là qu’on puisse si facilement passer de l’individualisme au communautarisme, de la certitude de soi à la noyade dans la secte, du mirage de l’identité personnelle à l’illusion identitaire dans un demos d’emprunt.

Il y a aussi un imaginaire de la laïcité et je ne suis pas sûr que nous en soyons tous conscients. Il s’appuie comme tout imaginaire sur un manque à savoir. Ignorance de l’anthropologie, ignorance de l’histoire. Prétendre que l’État ou l’École n’ont rien à connaître d’un religieux qui relèverait des convictions personnelles des individus, est une aberration anthropologique : il est évident que toute religion est, et ne peut être, que publique. C’est un phénomène collectif par définition, le noyau dur des cultures. Et il n’y a que les chrétiens d’aujourd’hui pour y voir, à cause de la problématique du salut individuel, une affaire qui se règle, à l’intérieur de la conscience de chacun, entre la personne et son Dieu : car même les catholiques sont en train de devenir protestants. Prétendre que la loi de 1905 ne laisse en face à face que l’État d’un côté et, de l’autre, une poussière de croyants individuels est une erreur historique. On confond alors la tentative avortée des thermidoriens et la loi de séparation de la Troisième République : car celle-ci ne fait pas de la religion le produit des croyances personnelles des individus, hors institution ; elle range l’institution de l’Église dans la société civile, ce qui n’est pas du tout la même chose.

« On peut tout enseigner », disait Condorcet. Tout ce qui est de l’ordre du savoir, bien sûr. Je ne vois donc pas pourquoi l’école ne devrait pas enseigner les savoirs que, sur le phénomène religieux, l’anthropologie, l’histoire et même la théologie ont permis d’accumuler au long des siècles. On peut discuter des modalités, bien sûr. Mais sur le principe lui-même, je ne vois pas en quoi la laïcité de l’école trouverait à y perdre. Bien au contraire. Je pense même qu’il s’agit d’une nécessité d’autant plus impérieuse que l’Église, enfoncée dans la même crise que l’école, semble vouloir renoncer à transmettre son propre savoir.

Tout enseigner oui, mais seulement ce qui est enseignable, des savoirs. C’est-à-dire ce qui se construit contre le sens. Lévi-Strauss l’a bien montré : tout savoir, même le plus primitif, s’est toujours construit contre l’imaginaire du sens. Et s’il y a aujourd’hui une infiltration du religieux dans l’école c’est à l’espéranto sans couleur des pédagogues que nous le devons. Aux gourous de la pédagogie. Je veux parler de cette chansonnette du sens qu’il faudrait donner aux savoirs. La dation du sens, tel est aujourd’hui le nouveau catéchisme. Or le sens n’a pas à être donné puisqu’il est du déjà-là, effet imaginaire de l’organisation symbolique des signifiants. C’est du déjà donné pour l’infans. En psychanalyse, l'infans, terme de Sándor Ferenczi, désigne l'enfant qui n'a pas encore acquis le langage, francisation du latin infans, infantis, désignant le très jeune enfant qui ne parle pas. Formé de in- préfixe négatif et du participe présent de fari « parler », cette racine se retrouve dans aphasie, fable, par exemple. Et ce, dès la première articulation des signifiants de la langue : O-A, le fort-da freudien, celui qui fait sens pour le petit Hans et lui permet de contrôler avec sa bobine les éclipses maternelles. Contrôle aussi imaginaire bien sûr que celui qu’exerce par sa prière ou ses œuvres tout bon catholique sur la grâce de Dieu. Faire du maître un intercesseur, c’est-à-dire un prêtre, chargé de donner à l’élève le sens des savoirs, construire un face à face imaginaire entre le professeur et l’élève tous deux victimes de la fascination du sens, est une opération religieuse en tant que telle. Elle empêche toute transmission des savoirs, puisque le sens ce n’est pas ce dont on manque, bien au contraire. Du sens, il y en a toujours à revendre, il prolifère de lui-même et c’est contre la surabondance du sens que l’humanité a patiemment réussi à construire au long des millénaires cet édifice des savoirs aujourd’hui en péril. Défendre toujours et en toutes circonstances l’autonomie des savoirs, et donc des disciplines, contre la religiosité diffuse de la dation de sens, tel devrait être aujourd’hui le premier objectif stratégique de la nouvelle laïcité. Car le fondement philosophique de la pédagogie du sens n’est autre que la phénoménologie chrétienne de la conscience.

Que nous est-il permis d’espérer ? un trait de lumière dans cette grisaille, la force de penser, dans une configuration non révolutionnaire, la conjonction de la révolte et de la pensée, un opérateur symbolique refondant un demos, un peuple à venir au lieu de ce qui nous afflige : une religiosité sans église ni clameur, l’idiotie d’un laos sans appel. C’était mon appel au peuple.

Le dème (en grec ancien δῆμος / dêmos) est une circonscription administrative de base instaurée lors de la révolution isonomique de Clisthène qui eut lieu de 508 ou507 à 501 av. J.-C. à Athènes. Le dème est directement lié à la marche d'Athènes vers la démocratie.
Étymologie: de dêmos*, « peuple » et kratos, « puissance », « souveraineté ». Régime politique fondé sur le principe que la souveraineté appartient à l'ensemble des citoyens , soit directement (par des référendums) soit indirectement par l'intermédiaire de ses représentants élus. Les élections doivent se tenir au suffrage universel, de façon régulière et fréquente
La démocratie suppose l'existence d'une pluralité d'options et de propositions, généralement incarnées dans des partis et des leaders ayant la liberté de s'opposer et de critiquer le gouvernement ou les autres acteurs du système politique. Les partis sont devenus au fil des ans, des alliances non démocratiques, qui n’ont pas à rendre de comptes aux Citoyens, à tel point que le sulfureux Queuille, montre bien la limite de la Démocratie avec les partis. En fait les partis sont unne aberration du mode Démocratique. Il faut y substituer des alliances avec l’obligation pour les signataires de remplir leur feuille de route avec un échéancier précis. 

« Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. »


Cette petite phrase, oh combien d’actualité, est pourtant due à un homme politique. Elle est du petit père Queuille, en réalité Henri Queuille, plusieurs fois président du conseil (même pendant deux jours en 1950) et également ministre des finances et de l’intérieur sous la 3eme république. Il fut même ministre et secrétaire d’Etat plus de trente fois ! Un véritable professionnel de la machine politique, et sa fameuse petite phrase est incontestablement le fruit d’une expérience professionnelle riche.
Une démocratie existe donc qu'en autant qu'on y trouve «une organisation constitutionnelle de la concurrence pacifique pour l'exercice du pouvoir» (Raymond Aron).

La démocratie exige aussi que les grandes libertés soient reconnues: liberté d'association, liberté d'expression et liberté de presse. Juridiquement, une démocratie s'inscrit dans un État de droit; culturellement, elle nécessite une acceptation de la diversité.

Les Illuminati sont une “élite dans l’élite”. C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations. Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. C'est l'émanation ultime de la Franc-Maçonnerie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

La création des Illuminati marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est “occulte”.

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes tel que les Skull and bones où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité.

Leurs agents sont éduqués et entraînés pour être placés dans les coulisses à tous les niveaux de gouvernements. En tant qu’experts et conseillers, ils forment les politiques gouvernementales afin de faire avancer leur plans secrets.

Ils demeurent toujours dans l’obscurité et l’anonymat, et généralement personne ne les soupçonne. Ils utilisent tous les peuples pour servir leurs desseins machiavéliques. Ils divisent pour mieux régner, fournissent les armes et de l’argent aux deux côtés d’une guerre, encourageant les gens à se battre et s’entre-tuer, dans le but d’atteindre leurs objectifs. Ils encouragent le terrorisme et la guerre atomique et provoquent délibérément les famines mondiales. Leur premier but est de former un gouvernement mondial pour avoir le contrôle complet du monde entier, en détruisant toutes les religions et tous les gouvernements.

De nombreuses guerres, y compris la Révolution française, les guerres mondiales, aurait été organisées par les Illuminati, qui opéraient sous différents noms et déguisements. Annie Lacroix-riz, historienne, souligne d’ailleurs très bien ces manipulations dans son livre “le choix de la défaite” en amassant de très nombreuses et solides preuves issu des archives de guerres.

La troisième guerre mondiale devra être fomentée en utilisant l’opposition entre les sionistes (les partisans de l’Etat d’Israël) et le monde musulman. Cette guerre sera dirigée de sorte que l’Islam et Israël se détruiront mutuellement, tandis que le reste des nations du globe, divisées sur cette question, seront forcées d’embarquer aussi dans cette guerre, jusqu’à l’épuisement physique, mental, spirituel et économique complet. Tout sera alors mis en place pour l’établissement d’un gouvernement mondial.

réalité ou folie ? le futur nous le montrera mais il faut souligner que ces dernières années, de très nombreuses preuves de manipulation, de fuites, de complot révélés au grand jour ou de mensonges organisés nous indique clairement que la réalité se mêle intimement à cette folie. Les nombreuses pièces du puzzle semblent étrangement s’assembler pour former un “tout” cohérent.

Source : http://www.prolognet.qc.ca/clyde/illumina.htm

Source : http://www.syti.net

Influence de la Franc-maçonnerie

Ce groupe réuni tous ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple, avec Dieu comme Partenaire, ce qui n'est pas le cas dans la Démosophie.

WWIII : Mouvement pour la Démocratie de la Laosophie, pour remédier à un contexte de Guerres contre l'Humanité.

Publié le 6 février 2015 par José Pedro

La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, ou défendue comme telle, je parle de SAPPHO la prêtresse d'Aphrodite de l'Île de LESBOS ou MYTILENE dont nous avons pris comme emblème la tête émanant du sculpteur Grec Praxitélès ou Praxitèle.
 
Elle serait née vers 630 av. J.‑C. à Mytilène ou Eresós et morte vers 580 av. J.‑C. Elle a été contemporaine du poète Alcée, lui aussi originaire de Lesbos. Il s'agit bien entendu de la poétesse et philosophe, et non celle du même nom qui était Lesbienne parfois dite « Sappho d'Érèse », joueuse de lyre, ou courtisane.
 
Un résumé de sa vie et une monnaie de son époque, trouvée dans son temple à Erésos, portant les inscriptions LAOS (Peuple) et MNAS (Monnaie), sont relatés ci-dessus dans la présentation de la Laosophie.
 
Grâce à la monnaie, et à la recherche de la toute première Laïcité, car le mot Laïcité, vient de la racine grecque LAOS, on s'aperçois que la Laïcité est beaucoup plus ancienne que la période Révolutionnaire, et qu'elle représente l'ensemble du Peuple (élu et non élu), qui s'organise avec ses croyances diverses, sans remettre en cause le pouvoir temporel, avec la latitude de rendre hommage aux Dieux, ce que fait SAPPHO en tant que prêtresse d'Aphrodite, et aux 12 Dieux de l'Olympe, en particulier ZEUS, qui accorde le Libre Arbitre aux hommes, et l'autodétermination dans l'organisation sociale.
 
La Laosophie est donc un Gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le peuple, ce qui est déjà dans notre constitution article 2 de la Vème République, mais également la devise des USA par Abraham Lincoln. Selon la célèbre formule d'Abraham Lincoln (16e président des États-Unis de 1860 à 1865) prononcée lors du discours de Gettysburg, la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». C'est l'une des définitions canoniques couramment reprises, ainsi qu'en témoigne l'introduction de la Constitution de 1958 de la Cinquième République française.
 
Cette définition est proche du sens étymologique du terme démocratie. La démocratie est décriée, car dans sa forme, et on le voit bien le Diable se glisse dans les détails, ce qui est à l'origine de la racine Demos. Il est souvent repris dans les dictionnaires modernes que le mot démocratie signifie « pouvoir du peuple » (demos kratos). Cependant plusieurs racines semblent désigner le mot peuple :
 
–Ochlo du grec « okhlo » semble désigner un groupe d’individu dans son ensemble abstrait. Souvent traduit par « foule » ou « populace »
–Laos toujours en grec semble signifier la même chose mais avec une notion d’ensemble davantage défini comme celui d’une tribu, une nation, un ensemble qui partage une même culture.
-Le démos, vient de daiomai qui signifie « diviser « partager » (racine « dia ») . Chez Homère le « demos » peut signifier « une parcelle » ou « une part de territoire ».
Un peu plus étrange :
Le substantif daimon (de daiomai) a donné par la suite le terme démon. Il avait une connotation moins négative qu’aujourd’hui à l’antiquité en désignant la « conscience » qui fait la part entre le bien et le mal. L’étymologie de diable serai également intéressante à approfondir car elle partage la même racine dia-balos qui signifie « séparer de dieu ». De là à dire que le terme démocratie pourrait signifier « pouvoir du diable » serai présomptueux mais un spécialiste du grec ancien nous donnerait certainement un éclairage intéressant sur le sujet.

Le LAOS

Laos signifie le Peuple de Dieu , la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain, ce qui n'est pas le cas dans la DEMOSOPHIE. Le Laos, mot Grec d'où est tiré le mot laïcité, signifie le Peuple de Dieu au sens le plus large, la Nation de tous les citoyens, et donc elle inclut également l'Oeuvre de Dieu et sa reconnaissance par les Hommes. la Théocratie se veut un Gouvernement de Dieu, exprimé par ses soit disant représentants sur terre l'Eglise, les Eglises, Les papes, les prélats, les imams, le mahdi, le Christ, les Hassidims, sionistes-religieux, les Haredims, craignants Dieu, Les Mitnagdim, ou « opposants », etc, etc. Le Laos a la particularité d'être la laïcité avec la reconnaissance de Dieu et le Libre Arbitre des Hommes, un consensus!

Voici son histoire:

Quelle est l'origine et la signification exacte de ce mot laïque, d'où la génération contemporaine a tiré le néologisme laïcité ? Test ce que nous allons essayer d'expliquer en quelques lignes.

Au moyen âge, on disait lai. Il y avait dans les couvents des frères lais, des soeurs laies : c'étaient des personnes qui, vivant dans l'enceinte d'une communauté monastique sans avoir prononcé de voeux, y remplissaient des offices de domesticité. La forme laïque est moderne. Les deux vocables, lai etlaïque, sont ce qu'en grammaire historique on appelle des doublets : ce sont deux formes du même mot, l'une populaire et l'autre savante (comme le sont, par exemple, les formes frêle et fragile, raide et rigide, pâtre et pasteur, porche etportique, etc.). L'une et l'autre forme représente le latin laïcus : lai est la forme populaire qui date des premiers temps de notre langue ; laïque est la forme savante, qui n'a été employée qu'à partir du seizième siècle. Et le mot populaire reproduit plus exactement l'original latin que ne le fait le mot savant, quoi qu'il en puisse paraître à première vue. En effet, dans le mot laïque, créé à une époque où l'on avait perdu le souvenir de la prononciation du latin, l'accent tonique a été déplacé et reporté sur la terminaison ique, tandis que, dans le mot latin, il était sur la syllabe initiale la. Le mot lai, malgré 1' « effritement » dû à un long usage, malgré cette réduction à la forme monosyllabique que lui a donnée le parler populaire, est donc plus rapproché du latin que le vocable trisyllabique minutieusement calqué lettre à lettre sur laïcus.

Mais que voulait dire ce mot latin, et d'où venait-il ? On en chercherait vainement l'étymologie dans les racines propres à la langue de Rome ; c'est un mot étranger, c'est la transcription de l'adjectif grec laïkos, et celui-ci est dérivé du substantif grec laos, qui signifie « peuple », « nation ». Le véritable sens, le sens primitif et étymologique du mot lai ou laïque est donc celui de « populaire » ou « national » : ce mot fut employé dans les premières communautés chrétiennes, où l'on parlait grec (on sait que le grec est la langue des Evangiles) ; il servit à désigner — au moment où dans ces communautés se constitua un clergé distinct du peuple et élevé au-dessus des simples fidèles — ceux qui n'étaient pas du clergé, ceux qui formaient la masse populaire.

Une façon de mieux déterminer la valeur exacte du mot laïque, c'est de rechercher quel est son contraire, quel est le mot qui s'oppose à lui, comme par exemple civil s'oppose à militaire, ou public à privé, etc.

Le mot qui s'oppose, étymologiquement et historiquement, à laïque, de la façon la plus directe, ce n'est pas ecclésiastique, ni religieux, ni moine, ni prêtre : c'est le mot clerc.

Le mot clerc, qui aujourd'hui a reçu plusieurs acceptions assez éloignées l'une de l'autre, n'a eu à l'origine qu'une signification unique : celle de « membre du clergé ». Il a été formé du latin clericus, par « éviscération » d'abord, c'est-à-dire par l'élimination de la voyelle placée au coeur du mot, l'i, et la contraction des parties restantes, et ensuite par la chute de la désinence us. Clericus a, comme laïcus,donné des doublets : à côté du mot clerc, substantif, de formation ancienne, le français moderne a créé un adjectif, clérical, qui est une forme savante, calquée sur le patron latin ; clérical est à laïque ce que clerc est à lai.

Comme pour le mot laïque, ce n'est pas le latin qui nous fournira la racine declerc et de clericus : il faut remonter jusqu'au grec. Le latin clericus est la transcription de l'adjectif grec klêrikos, dérivé du substantif klêros, qui a pris, dans le langage des auteurs ecclésiastiques, le sens de « clergé », mais qui signifie originairement « lot ». Ceux qui font partie du klêros, ce sont ceux qui forment le « bon lot », ceux qui ont été « mis à part », les « élus », c'est-à-dire, au début, les chrétiens par opposition aux gentils, et, plus tard, dans la société chrétienne, les prêtres par opposition à ceux qui ne l'étaient pas. La transcription latine du grec klêros est clerus, qui a passé dans l'allemand sans changer de forme et dans l'italien et l'espagnol sous la forme clero. Notre mot français clergé,dont la forme ancienne est clergie (état de celui qui est clerc), n'a pas été tiré directement du latin clerus, mais a été dérivé du français clerc.

Ces recherches étymologiques conduisent à autre chose qu'à la satisfaction d'une vaine curiosité. Les constatations que nous venons de faire portent avec elles leur enseignement. Le clergé, les clercs, c'est une fraction de la société qui se tient pour spécialement élue et mise à part, et qui pense avoir reçu la mission divine de gouverner le reste des humains, ils sont dans le démos; l'esprit clérical, c'est la prétention de cette minorité à dominer la majorité au nom d'une religion. Les laïques, c'est le peuple, c'est la masse non mise à part, c'est tout le monde, (les clercs exceptés, et l'esprit laïque qui se dissout dans la globalité du peuple), c'est l'ensemble des aspirations du peuple, du laos, c'est l'esprit démocratique et populaire.

http://laosophie.chez.com

Laos, le peuple. Ecclesia, l’assemblée. Ce sont deux mots grecs qui nous occupent. Mais il faut être plus précis. Laos, c’est le peuple en tant que foule, masse non organisée, un tas d’individus particuliers. Le laos s’oppose donc au demos, qui est le peuple pris dans sa dimension politique. L’ecclesia, elle, c’est l’assemblée ou la convocation du demos, le peuple certes, mais le peuple appelé car tel est l’étymon de l’église : kaleo, j’appelle, d’où clameur, clairon, clarté, calendes, calendrier, nomenclature, concile, proclamation ou chamade, qui ont tous le même radical indo-européen KLE. L’église c’est donc l’appel au peuple, au laos qui, convoqué, devient demos. Quand l’église a le pouvoir, cela a un nom :démocratie.

Puis vinrent les Septante. La Septante (LXX, latin : Septuaginta) est une version de la Bible hébraïque en langue grecque. Selon une tradition rapportée dans la Lettre d'Aristée (IIe siècle av. J.-C.), la traduction de la Torah aurait été réalisée par 72 (septante-deux) traducteurs à Alexandrie, vers 270 av. J.-C., à la demande de Ptolémée II.
Par extension, on appelle Septante la version grecque ancienne de la totalité des Écritures bibliques (l'Ancien Testament). Le judaïsme n'a pas adopté la Septante, restant fidèle au texte hébreu, et à des traductions grecques ou araméennes (Targoum) plus proches dudit texte.

Ils choisirent laos pour dire le peuple de Dieu, car demos sans doute était trop politique c’est-à-dire, paradoxalement, trop laïque au sens courant d’aujourd’hui : humain, trop humain… C’est ainsi que laïque finit par désigner jadis le peuple chrétien, c’est-à-dire l’Église, l’assemblement des hommes à l’appel du Fils. C’est le premier sens du mot laïque dans nos langues, il convient de ne pas l’oublier. Excusez-moi de remonter aux calendes, c’est-à-dire, comme je viens de le rappeler, à la clameur d’église, au concile divin. Mais nos histoires sont sédimentées dans la langue et il n’y a que des Katherine Weinland pour y voir les couches d’un passé à « dépoussiérer ».

Telle est l’origine du mot laïque : il désigne l’ecclesia, les membres de l’Église ou peuple de Dieu à l’exclusion de ceux qui, ayant entendu un Appel plus pressant, sont devenus clercs, c’est-à-dire – j’y reviendrai – séparés. Clergé régulier, clergé séculier et laïcs, tous membres de l’Église, c’est de là qu’il faut partir.

Vous me direz que les mots ont changé de sens et que laïcité désigne pour nous, aujourd’hui, la séparation du politique et du religieux. Voire. Cette histoire-là aussi est bien ancienne. Ce n’est pas la Troisième République, ni même Condorcet, qui ont inventé la chose. Elle remonte à 586 avant Jésus-Christ, première destruction du Temple. Privés de pouvoir politique, les Juifs ont attendu jusqu’en 1947 pour pouvoir construire, quoi ? un état laïque, le seul de la région avec la parenthèse irakienne, qui n’en a plus pour très longtemps. Pendant 2533 ans, le peuple élu a vécu la séparation du politique et du religieux, non sans souffrances, on le sait. Sans Juges et sans Rois. Avec pour seul appui, la promesse du Livre.

Et les chrétiens eux-mêmes n’ont-ils pas eu pour mot d’ordre la séparation, le partage des Royaumes ? A César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu, parole du Christ. Et qu’est-ce qu’un clerc ? Un séparé par le sort, kleros, par le coup tiré. On est prêtre par un coup du sort, un appel. Kolaphos en grec, colpus en latin, golpe en espagnol, le coup, le couperet, la coupure : c’est l’étymologie de clergé, des séparés à l’intérieur même du laos chrétien.

La confessionnalisation des états contre quoi se sont battus les partisans de la laïcité au sens contemporain est chose beaucoup plus récente. Elle commence dans les années 1560-1570 dans une Europe ravagée par les guerres de religion. Réforme et Contre-Réforme. Cujus regio ejus religio, un autre partage, une autre séparation, politique et géographique (roi et région ont même étymon) pour mettre fin à la guerre civile des religions. Quoi que nous puissions en penser aujourd’hui, ce fut une bonne chose, la meilleure dans le meilleur des mondes, au sens leibnizien bien sûr. Puis vinrent les Lumières. Certains pensèrent qu’il convenait de séparer ce qui venait d’être uni deux siècles avant : l’Église et l’État. Pourquoi pas ? La guerre ne menaçait plus entre catholiques et protestants et l’alliance du trône et de l’autel, du sabre et du goupillon, présentait plus d’inconvénients désormais que d’avantages. Mais il est une chose que les plus républicains d’entre nous ne devraient point oublier : l’Europe des États n’existerait pas, faute d’États, s’il n’y avait d’abord eu ce processus de confessionnalisation. Louis XIV, celui qui révoqua l’Édit de Nantes, fut le premier Jacobin.

Tout ce que je viens de dire est histoire faite, finie. Elle ne se répètera pas. Jamais le temps ne revient sur ses pas. Mais il convenait, je crois, de le dire. Car nous parlons de choses qui s’inscrivent dans la longue, la très longue, durée. Il faudrait en retenir au moins ceci : le laos d’aujourd’hui n’est certes plus le laos athénien ni celui des Septante mais il n’est pas davantage celui de Combes ou de Condorcet. La confessionnalité des États n’est plus et, par conséquent, la laïcité à l’ancienne a cessé, elle aussi, d’avoir place dans la polis démocratique. Reste le laos, car c’est toujours lui, le problème. La démocratie peut être détruite, on en a maint exemple. Mais pas la laocratie. Le peuple en tant que laos ne peut être dissous puisqu’il l’est déjà, atomisé, non assemblé par un Appel symbolique.Le pire ennemi du peuple, c’est devenu le peuple lui-même, le laos qui est en train de défaire le demos au sein même des démocraties contemporaines.

On commence à peine à mesurer l’impact de la fin du communisme. Repoussoir pour les uns, espoir pour les autres, peu importe. Mais ce qui est sûr, c’est qu’à deux siècles exactement de distance, la chute du Mur de Berlin a répondu à la Prise de la Bastille, bouclant ainsi la boucle de la Révolution. Or la Révolution aura été, au cours de ces deux siècles, la clameur du laos. Un opérateur symbolique qui, comme le montre Milner, a permis pour la première fois de penser ensemble la révolte et la pensée. « Révoltes logiques », avait dit Rimbaud, repris par Rancière. « On a raison de se révolter », clamions-nous naguère, et déjà en vain, aux portes des usines.

Faute de messianisme révolutionnaire, on nous appelle à la grand messe du marché. C’est cela, l’individualisation des conduites et des comportements, inséparable de la nouvelle démocratie : triomphe du laos, en tant qu’il signifie l’éparpillement du demos. Et ce processus affecte pareillement toutes nos institutions, l’État, l’Église, l’École, les députés et les ministres, les prêtres et les professeurs, progressivement remplacés par les démagogues du sondage d’opinion, les funambules de la foi et les gourous de la pédagogie. Ce processus s’appuie sur l’effondrement des structures symboliques de la culture et promeut le présent sans ancrage d’un imaginaire où l’individu se croit d’autant plus lui-même qu’il ressemble comme une goutte à son alter ego dans le miroir : de là qu’on puisse si facilement passer de l’individualisme au communautarisme, de la certitude de soi à la noyade dans la secte, du mirage de l’identité personnelle à l’illusion identitaire dans un demos d’emprunt.

Il y a aussi un imaginaire de la laïcité et je ne suis pas sûr que nous en soyons tous conscients. Il s’appuie comme tout imaginaire sur un manque à savoir. Ignorance de l’anthropologie, ignorance de l’histoire. Prétendre que l’État ou l’École n’ont rien à connaître d’un religieux qui relèverait des convictions personnelles des individus, est une aberration anthropologique : il est évident que toute religion est, et ne peut être, que publique. C’est un phénomène collectif par définition, le noyau dur des cultures. Et il n’y a que les chrétiens d’aujourd’hui pour y voir, à cause de la problématique du salut individuel, une affaire qui se règle, à l’intérieur de la conscience de chacun, entre la personne et son Dieu : car même les catholiques sont en train de devenir protestants. Prétendre que la loi de 1905 ne laisse en face à face que l’État d’un côté et, de l’autre, une poussière de croyants individuels est une erreur historique. On confond alors la tentative avortée des thermidoriens et la loi de séparation de la Troisième République : car celle-ci ne fait pas de la religion le produit des croyances personnelles des individus, hors institution ; elle range l’institution de l’Église dans la société civile, ce qui n’est pas du tout la même chose.

« On peut tout enseigner », disait Condorcet. Tout ce qui est de l’ordre du savoir, bien sûr. Je ne vois donc pas pourquoi l’école ne devrait pas enseigner les savoirs que, sur le phénomène religieux, l’anthropologie, l’histoire et même la théologie ont permis d’accumuler au long des siècles. On peut discuter des modalités, bien sûr. Mais sur le principe lui-même, je ne vois pas en quoi la laïcité de l’école trouverait à y perdre. Bien au contraire. Je pense même qu’il s’agit d’une nécessité d’autant plus impérieuse que l’Église, enfoncée dans la même crise que l’école, semble vouloir renoncer à transmettre son propre savoir.

Tout enseigner oui, mais seulement ce qui est enseignable, des savoirs. C’est-à-dire ce qui se construit contre le sens. Lévi-Strauss l’a bien montré : tout savoir, même le plus primitif, s’est toujours construit contre l’imaginaire du sens. Et s’il y a aujourd’hui une infiltration du religieux dans l’école c’est à l’espéranto sans couleur des pédagogues que nous le devons. Aux gourous de la pédagogie. Je veux parler de cette chansonnette du sens qu’il faudrait donner aux savoirs. La dation du sens, tel est aujourd’hui le nouveau catéchisme. Or le sens n’a pas à être donné puisqu’il est du déjà-là, effet imaginaire de l’organisation symbolique des signifiants. C’est du déjà donné pour l’infans. En psychanalyse, l'infans, terme de Sándor Ferenczi, désigne l'enfant qui n'a pas encore acquis le langage, francisation du latin infans, infantis, désignant le très jeune enfant qui ne parle pas. Formé de in- préfixe négatif et du participe présent de fari « parler », cette racine se retrouve dans aphasie, fable, par exemple. Et ce, dès la première articulation des signifiants de la langue : O-A, le fort-da freudien, celui qui fait sens pour le petit Hans et lui permet de contrôler avec sa bobine les éclipses maternelles. Contrôle aussi imaginaire bien sûr que celui qu’exerce par sa prière ou ses œuvres tout bon catholique sur la grâce de Dieu. Faire du maître un intercesseur, c’est-à-dire un prêtre, chargé de donner à l’élève le sens des savoirs, construire un face à face imaginaire entre le professeur et l’élève tous deux victimes de la fascination du sens, est une opération religieuse en tant que telle. Elle empêche toute transmission des savoirs, puisque le sens ce n’est pas ce dont on manque, bien au contraire. Du sens, il y en a toujours à revendre, il prolifère de lui-même et c’est contre la surabondance du sens que l’humanité a patiemment réussi à construire au long des millénaires cet édifice des savoirs aujourd’hui en péril. Défendre toujours et en toutes circonstances l’autonomie des savoirs, et donc des disciplines, contre la religiosité diffuse de la dation de sens, tel devrait être aujourd’hui le premier objectif stratégique de la nouvelle laïcité. Car le fondement philosophique de la pédagogie du sens n’est autre que la phénoménologie chrétienne de la conscience.

Que nous est-il permis d’espérer ? un trait de lumière dans cette grisaille, la force de penser, dans une configuration non révolutionnaire, la conjonction de la révolte et de la pensée, un opérateur symbolique refondant un demos, un peuple à venir au lieu de ce qui nous afflige : une religiosité sans église ni clameur, l’idiotie d’un laos sans appel. C’était mon appel au peuple.

Le dème (en grec ancien δῆμος / dêmos) est une circonscription administrative de base instaurée lors de la révolution isonomique de Clisthène qui eut lieu de 508 ou507 à 501 av. J.-C. à Athènes. Le dème est directement lié à la marche d'Athènes vers la démocratie.
Étymologie: de dêmos*, « peuple » et kratos, « puissance », « souveraineté ». Régime politique fondé sur le principe que la souveraineté appartient à l'ensemble des citoyens , soit directement (par des référendums) soit indirectement par l'intermédiaire de ses représentants élus. Les élections doivent se tenir au suffrage universel, de façon régulière et fréquente
La démocratie suppose l'existence d'une pluralité d'options et de propositions, généralement incarnées dans des partis et des leaders ayant la liberté de s'opposer et de critiquer le gouvernement ou les autres acteurs du système politique. Les partis sont devenus au fil des ans, des alliances non démocratiques, qui n’ont pas à rendre de comptes aux Citoyens, à tel point que le sulfureux Queuille, montre bien la limite de la Démocratie avec les partis. En fait les partis sont unne aberration du mode Démocratique. Il faut y substituer des alliances avec l’obligation pour les signataires de remplir leur feuille de route avec un échéancier précis. 

« Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. »

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Cette petite phrase, oh combien d’actualité, est pourtant due à un homme politique. Elle est du petit père Queuille, en réalité Henri Queuille, plusieurs fois président du conseil (même pendant deux jours en 1950) et également ministre des finances et de l’intérieur sous la 3eme république. Il fut même ministre et secrétaire d’Etat plus de trente fois ! Un véritable professionnel de la machine politique, et sa fameuse petite phrase est incontestablement le fruit d’une expérience professionnelle riche.
Une démocratie existe donc qu'en autant qu'on y trouve «une organisation constitutionnelle de la concurrence pacifique pour l'exercice du pouvoir» (Raymond Aron).

La démocratie exige aussi que les grandes libertés soient reconnues: liberté d'association, liberté d'expression et liberté de presse. Juridiquement, une démocratie s'inscrit dans un État de droit; culturellement, elle nécessite une acceptation de la diversité.

Les Illuminati sont une “élite dans l’élite”. C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations. Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. C'est l'émanation ultime de la Franc-Maçonnerie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

La création des Illuminati marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est “occulte”.

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes tel que les Skull and bones où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité.

Leurs agents sont éduqués et entraînés pour être placés dans les coulisses à tous les niveaux de gouvernements. En tant qu’experts et conseillers, ils forment les politiques gouvernementales afin de faire avancer leurs plans secrets.

Ils demeurent toujours dans l’obscurité et l’anonymat, et généralement personne ne les soupçonne. Ils utilisent tous les peuples pour servir leurs desseins machiavéliques. Ils divisent pour mieux régner, fournissent les armes et de l’argent aux deux côtés d’une guerre, encourageant les gens à se battre et s’entre-tuer, dans le but d’atteindre leurs objectifs. Ils encouragent le terrorisme et la guerre atomique et provoquent délibérément les famines mondiales. Leur premier but est de former un gouvernement mondial pour avoir le contrôle complet du monde entier, en détruisant toutes les religions et tous les gouvernements.

De nombreuses guerres, y compris la Révolution française, les guerres mondiales, aurait été organisées par les Illuminati, qui opéraient sous différents noms et déguisements. Annie Lacroix-riz, historienne, souligne d’ailleurs très bien ces manipulations dans son livre “le choix de la défaite” en amassant de très nombreuses et solides preuves issu des archives de guerres.

La troisième guerre mondiale devra être fomentée en utilisant l’opposition entre les sionistes (les partisans de l’Etat d’Israël) et le monde musulman. Cette guerre sera dirigée de sorte que l’Islam et Israël se détruiront mutuellement, tandis que le reste des nations du globe, divisées sur cette question, seront forcées d’embarquer aussi dans cette guerre, jusqu’à l’épuisement physique, mental, spirituel et économique complet. Tout sera alors mis en place pour l’établissement d’un gouvernement mondial.

réalité ou folie ? le futur nous le montrera mais il faut souligner que ces dernières années, de très nombreuses preuves de manipulation, de fuites, de complot révélés au grand jour ou de mensonges organisés nous indique clairement que la réalité se mêle intimement à cette folie. Les nombreuses pièces du puzzle semblent étrangement s’assembler pour former un “tout” cohérent.

Source : http://www.prolognet.qc.ca/clyde/illumina.htm

Source : http://www.syti.net

Influence de la Franc-maçonnerie

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Ce groupe réuni tous ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple, avec Dieu comme Partenaire, ce qui n'est pas le cas dans la Démosophie.

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Platon marque les débuts de la philosophie SECTION PHILOSOPHIQUE sur la LAOSOPHIE gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le Peuple

Constitution Française Article 2

Article 2

La langue de la République est le français.

L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.

L'hymne national est la "Marseillaise".

La devise de la République est "Liberté, Egalité, Fraternité".

Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.

Platon marque les débuts de la philosophie en tant que connaissance rationnelle du monde avec le Libre Arbitre des Hommes grâce à DIEU. Il avait été précédé par d'autres philosophes dont SAPPHO de MYTHYLENE, au 7ème siècle avant notre ère. Dans un certain sens, on peut dire que toute la philosophie n'est, par la suite, qu'une tentative de répondre aux questions qu'il avait posé/ Le platonisme garde toutefois un aspect mystique, ce qui lui valut d'être "adopté" par les premiers penseurs chrétiens. L'influence de Platon fut toutefois supplantée par celle de son élève Aristote, philosophe plus logique et "terre à terre", pendant le moyen âge. Sa philosophie fut redécouverte par la Renaissance humaniste et on peut considérer la philosophie de Descartes comme un retour à "Platon" après des siècles d'Artistotélisme. Le concept de la Démosophie est attribué à Michel TOZZI en 1970 repris par Eric Fiorile beaucoup plus tard en 1993, et se l'est attribué.

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Platon naît à Athènes d'une famille aristocratique. En -407, il rencontre Socrate, dont il suivra l'enseignement pendant huit années. Platon se destinait aux affaires politiques, mais la condamnation à mort de Socrate en -399 par les démocrates le détourne de ce projet. Il n'assiste pas derniers moments du philosophe et quitte Athènes. De cette époque date son projet de repenser les problèmes politiques. Il effectue une série de voyages, se rend en Italie où il rencontre les pythagoriciens.

De -388 à sa mort, Platon oscille entre Athènes et la Sicile. Il veut convertir le tyran Denys 1er, l'ancien à ses idées politicophilosophiques, mais il se brouille avec lui, est exilé et même vendu comme exclave. En - 387, racheté et libéré, Platon revient à Athènes et fonde l'Académie, première grande école de l'Antiquité. Après des rappels et exils successifs en Sicile, il meurt à Athènes en - 347.

Avant Socrate, les philosophes "pré-socratiques" sont des philosophes de la nature. Ils s'intéressent surtout à l'analyse physique du monde. Au temps de Platon, Athènes est encore une cité à son apogée (héritage du "siècle de Périclès). La vie culturelle se concentre autour d'Athènes où la démocratie voit le jour. Il est nécessaire d'éduquer le peuple. Des philosophes - les sophistes - vont "enseigner" aux citoyens riches. Ils critiques les mythologies et s'intéressent à l'Homme dans la société. Pour eux, le Bien et le Vrai ne sont pas des normes absolues ; ce qui compte ce sont les besoins de l'Être humain.

Face aux riches sophistes, Socrate proclame que la connaissance ne s'enseigne pas. La vraie connaissance vient de l'intérieur et l'Homme peut accéder aux vérités philosophiques s'il se sert de la raison. Sa mort affecte Platon, qui y voit une contradiction fondamentale : la réalité de la société s'oppose à la Vérité de l'Idée, qui doit empêcher une cité de condammenr à mort les Hommes les plus justes.

Les ouvrages : Gorgias (v-387) Dans ce dialogue, Platon s'élève contre la rthétoirque, art mensonger, qui abuse de la puissance des mots et donne le pouvoir aux tyrans. Il lui oppose la philosophie, dont le but est de rendre le peuple meilleur.

Ménon (v - 387) Après le Protagoras, une oeuvre de jeunesse, Platon tente de définir ce qu'est la vertu et si elle peut s'enseigner.

Phédon ( v -385) Ce dialogue met en scène les derniers instants de Socrate. Avant de boire la ciguë, Socrate expose à ses disciples sa croyance en l'immortalité de l'âme.

Le Banquet (v-385) Cet ouvrage fondamental de Platon traite de l'amour. Le philosophe y évoque le mythe des Androgynes : autrefois, les êtres humains possédaient les deux sexes. Mais Zeus, pour les punir d'avoir cherché à escalader le ciel, les sépara en deux. Depuis, chaque moité recherche l'autre.

La République (entre -385 et - 370) C'est sans doute l'oeuvre majeure de Platon. A partir d'une définition de lajustice, Platon tente de déterminer ce que serait le gouvernement idéal. Il distingue trois classes de citoyens et analyse les différents types de régimes politiques. Pour se rapprocher du gouvernement idéal, la cité devrait se doter d'un philosophe-roi. De la politique, Platon passe à la métaphysique. Il établit la distinction entre un monde intelligible et un monde sensible, pose le Bien comme valeur suprême et illustre sa théorie par la fameuse allégorie de la caverne.

Théétète (v-368) Platon tente de démontrer qu'une connaissance objective est possible, contrairement aux philosphes qui affirmaient la relativité de toute science, comme le sophiste Protagoras ou Héraclite. Parménide (v-367) Dans cet ouvrage, l'un des plus techniques de Platon, le PHilosophe tente de répondre aux critiques qu'à suscitées sa théorie des Idées. Il examine en particulier quel est le rapport entre les Idées et les choses.