http://laosophie.chez.com

La Laosophie ou la science de la Politique et de la Démocratie telle qu'on l'appliquait au 7ème siècle AVJC sous la Poétesse SAPPHO de ERESOS, également Prêtresse d'Aphrodite, et imposant au Roi local les exigences du Peuple (Laos), dans l'île de Eresós (en grec moderne : Ερεσός) qui est une ville de l'île de Lesbos, en Grèce. et non SAPPHO la libertine qui habitait également cette île.

Archéologue Dufeil, Michel-Marie (1922-1991) . Architecte pour la reconstruction à l'identique, Denys Chanson. Michel Marie Dufeil avait trouvé les pierres incrites dans du marbre de l'existence de Marie-Madeleine sur ce site (Voir plus bas)

Louistisserand Jean-Claude : Hommage posthume à l'archéologue brillant et ami, qui m'a précédé et accompagné sur ce site et dans la faculté de Montpellier III, où j'ai suivi les cours et les siens.

Michel-Marie ne pouvait qu'être exaucé dans sa vie en mettant les pieds sans le vouloir dans l'Eglise Antique de Sainte-Marie Madeleine du premier siècle, issu du petit Séminaire de Saintes, et du grand Séminaire de La Rochelle, villes que je connais bien, ayant travaillé sur des sujets comme Saint Thomas, et brillant médiévaliste, je lui ai apporté mes connaissances des spécialistes comme le RP Maire du Poset, Marianiste, Philiosophe et enseignant dans l'enseignement privé de Sainte Marie, ainsi que du bibliothécaire orientaliste du Vatican, qu'était le Cardinal Eugène Tisserant, de ma famille, qui a pu faire des recherches en parallèle sur l'origine du couvent de femmes dominicaines du 9-10ème siècle. Ce couvent est situé au lieu dit Puech des Mourgues (Les Mourgues, morgas, qui signifient religieuses en Languedocien), a été sanctifié en l'année 460 par le Pape Léon le Grand, qui était de la Région de Arles, et porte encore le nom de Pic Saint Léon. Les correspondances de ce Pape et ses lettres choisies, ses bulles, et ses 96 sermons et prédications, le confirme. On imagine mal un Pape sanctifier un lieu inhabité en l'an de grâce 460.

Quand je lui ai fait part de la trouvaille de la clé romaine, il n'a pas caché sa joie, et nous avons continué sur notre lancée en découvrant près de la citerne, le Bain Juf ou Mikvé, et ses canalisations d'eau intérieures. Le mikvé (ou mikveh) (en hébreu : מִקְוָה ; au pluriel : מקואות mikvaot) est un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté familiale dans le judaïsme. C'est l'un des lieux centraux de la vie communautaire juive, avec la synagogue et l'école juive (yeshiva). Ayant passé 10 ans avec la communauté juive de Montpellier de 1991 à 2000, et ayant été baptisé Juif Haredi lors d'un voyage initiatique en Israël, nous avons pu recherché les éléments de ce puzzle et essayer de les comprendre ensemble. De nombreux artefacts romains ont été collectés pour conforter la construction du premier siècle que Marie Madeleine avait vraissemblablement anticipée dans sa construction, sachant que Jésus avait dit aux apôtres ce qu'il allait lui arriver et que chacun serait poursuivi et arrêté dans le groupe des proches de Jésus, et en général les chrétiens on été persécutés pendant plusieurs siècles. Cette construction est en rapport avec la Cathédrale de Maguelone dont le premier Evêque est Saint Simon le Lépreux, Maguelone venant de magdala en éthimologie, et cet édifice a fait partie de l'évêché de Maguelone.

Michel-Marie Dufeil

 

TEXTE INTÉGRAL

1Michel-Marie DUFEIL a suivi une destinée internationale de Saïgon à Los Angeles, Lima, Brazzaville, Libreville, Wagadugu, Abidjan, Ndjamena etc… tout en maintenant à intervalles réguliers son appartenance et ses travaux dans l'hexagone aux postes de Paris, Dijon, Clermont-Ferrand et Montpellier. Son premier métier fut d'archives spécialisées et de patiente paléographie universitaire pour déboucher sur l'histoire sociomentale de l'Université scolastique autour de saint Thomas d'Aquin, des polémiques qu'il remporta, de leur influence sur sa doctrine en élaboration et d'une doctrine de son influence. Désireux de retrouver son contact de géographe avec le réel, il a voulu ensuite apprendre un peu d'archéologie médiévale en fouillant auprès de J.M. PESEZ et de F. PIPONNIER à Dracy et Essertines et à Mesmont. Puis il est passé à l'anthropologie, découverte avec la variété des civilisations lors de son séjour à Saigon et de son Manuel de géographie du Viet-Nam. Dans l'africanistique de terrain, il a accompagné des dizaines de jeunes chercheurs africains aux villages de leur langue et s'est formé en les dirigeant aux méthodes de l'histoire orale des structures de civilisation. D'Amérique du Sud au Pakistan, au Languedoc et en Pologne ou Roumanie mais surtout en Côte d'Ivoire, Burkina-faso, Tchad, Congo, Gabon. Il se voulut d'une mobilité raisonnée dans l'espace et cohérente dans les idées et les méthodes. La recherche de la dignité intellectuelle de son métier l'a logiquement mené à la volonté d'une épistémologie générale de toutes les disciplines de la nouvelle histoire.

2Michel-Marie DUFEIL

3né le : 16.11.1922 à : JONZAC - 17500

4(Souche réelle : PLERGUER - 35540)

ETUDES :

5– Petit Séminaire - Saintes

6– Grand Séminaire - La Rochelle

7– Baccalauréat A - Philosophie - Poitiers 1940

8– Licence Histoire et Géographie - Bordeaux 1942-1944

9– S.T.O.- Berlin - Juillet 1943 (frère en prison politique allemande), évadé en juillet 1944 (frère à l'abri)

10– D.E.S de Géographie et d'Histoire - Bordeaux 1945

11– Agrégation d'Histoire - 1948

LISTES D'APTITUDES :

  • aux fonctions de Maître-Assistant - octobre 1967
  • à l'Enseignement Supérieur - octobre 1970
  • à la Maîtrise de Conférences - 1972

THESE :

12Guillaume de Saint-Amour et la polémique universitaire parisienne (1250-59) ou mai 68 au 13e siècle soutenue le 29 juin 1969 - mention très honorable - parue chez Picard 1972 avec concours CNRS.

POSTES :

13- Professeur au Lycée de garçons de Douai - 1946-1948

14- Professeur agrégé au Lycée de garçons de Troyes - 19448-1955

15- Chargé de Cours à la Faculté des Lettres (et Fac de pédagogie) de Saïgon - 1955-1959

16- Professeur au Lycée Lakanal - 1959-1963 (période de documentation de thèse)

17- Assistant d'Histoire du Moyen-Age à la Faculté des Lettres d'Alger -1963-1968

18- Assistant d'Histoire du Moyen-Age à la Faculté des Lettres de Clermont-Ferrand - 1968

19- Assistant, puis Maître-assistant à la Faculté des Lettres de Dijon -1969-1973

20- Maître de Conférences à la Faculté des Lettres de Brazzaville - 1973-1977

21- Professeur à l'Université Paul Valéry - Montpellier III, depuis 1977

22- détaché à l'Université de Libreville - 1984-1986

© Presses universitaires de Provence, 1991

 

4 contributions de 1953 à 1988

Médiéviste, anthropologue, africaniste. - Professeur à l'université Paul-Valéry, Montpellier III (en 1991) (Source DataBNF)

Sa production dans Persée

SAINT THOMAS ET L’HISTOIRE

Michel-Marie Dufeil

Senefiance

Introduction

  • 1 Ps 42,4.
  • 2 Gen 28, 2. PG 35.

1Introibo ad altare Dei, ad deum qui letificat iuuentutem meam1. Toute vie est une jeunesse qui ne s'arrête pas de gravir les degrés de son échelle de Jacob2 vers les cieux transcendants. Toute initiation a ses marches et jalons. Scola, scala, toute école est une échelle et tout rite, un barreau. Le servant devient célébrant et, du peuple, monte vers Dieu. L'école de l'amour, cette initiation majeure, est de même aventure ascendante qui tourne le dos à la foule assemblée pour grimper vers l'inaccessible inconnu. Parvenu au sommet de l'autel des sacrifices, l'orant, l'implorant, l'espérant, l'hostie, rencontre Dieu.

2Le regard de Thomas d'Aquin balaie toute l'échelle. Il en constate la base posée dans une épaisse nature pleine de diverses transgressions qu'il appelle à transgravir vers une nature moins impure. Il en étudie les diverses institutions sociales et surtout le mariage dont il fait l'un des degrés et l'un des types, mais surtout le signe de l'amour. Toutefois c'est au delà de la cime, dans la transcendance, qu'il trouve la balance dialectique, la définition et le sens de l'amour. Ni transgression, ni institution, l'amour est initiation et vie qui monte vers une personne. L'iconographie de cette doctrine comprendrait des milliers d'item ; il faudra donc se contenter de brefs renvois à quelques exemples à peu près arbitraires. Mais la différence entre théologie et beaux arts est mince puisqu'ils naissent ensemble et les uns des autres en s'épaulant sans cesse. L'unité des pensers entre pinceaux, ciseaux et plumes, l'unité des idées et des traits est flagrante. Lex orandi lex credendi, les regards d'icones sont des regards de doctrine.

3Trois degrés du regard vont donc ici nous retenir : les infrastructures des réalites matérielles, les médiostructures des consistances socio-institutionnelles et les suprastructures d'un aventureux élan vers le devenir de l'Amour.

  • Éditeur : Presses universitaires de Provence
  • Collection : Senefiance | 29
  • Lieu d’édition : Aix-en-Provence
  • Année d’édition : 1991
  • Publication sur OpenEdition Books : 28 octobre 2014
  • EAN (Édition imprimée) : 9782901104292
  • EAN électronique : 9782821836891
  • DOI : 10.4000/books.pup.4439
  • Nombre de pages : 692 p.

Extrait

Dans l'historiographie actuelle du Moyen Age, Michel-Marie Dufeil occupe une place singulière. Par sa carrière comme par son œuvre. Sa carrière s'est déroulée à cheval, si j'ose dire, entre l'Afrique noire et la France. Le professeur a l'Université Paul Valéry de Montpellier n'a pas oublié le professeur à l'Université de Brazzaville (qui avait déjà enseigné au Vietnam et à Alger) et, sans mélanger les sociétés ni les époques, Michel-Marie Dufeil a porté un même intérêt à la société congolaise contemporaine et ancienne, et à la société de la Chrétienté européenne médiévale. Mais le recueil d'articles qu'on va lire ne concerne que cette dernière.

© Presses universitaires de Provence, 1991

Conditions d’utilisation : http://www.openedition.org/6540

Cette publication numérique est issue d’un traitement automatique par reconnaissance optique de caractères.
 

Annales 2 publications de 1953 à 1974

Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public

2 publications de 1987 à 1988

Fouilles de Saint-Bauzille de Montmel,

de 1973 à 1985, Eglise Antique du Premier Siècle, époque Romaine

Pic Saint Léon le Grand, DOMUS ECCLESIAE CHRISTI MUNIVIT

Eglise Antique du Premier Siècle du Christ et de Sainte Marie-Madeleine. Voir "EN MARCHE AVEC MARIE MADELEINE"

Descente au Mikvé du premier siècle en France, Seul Mikvé du premier siècle, celui de Marie-Madeleine, l'Apôtre des Apôtres, avec trois marche,

Canalisation d'alimentation du MIKVE JUIF repris par les Juifs Chrétiens du Premier Siècle, devenus des Chrétiens, laissant aux Juifs Pharisiens de leur époque le soin de continuer leur propre Apostasie.

Il y a 3 marches pour y descendre, le tout entouré de deux colonnes rondes avec chapiteau. La synagogue comme les Domus Ecclesiae Christi Chrétiennes des premiers siècles, est désignée comme scuola ou schule, école.

Moins vitale pour la survie de la communauté qu’un mikvè, bain rituel. Moins valorisée que la maison d’étude, la synagogue ne donne pas lieu à des prescriptions talmudiques très précise. (Le Choulhan Aroukh, code rédigé par Joseph Caro au xvie siècle, rappelle qu’une synagogue peut être convertie en maison d’étude et non l’inverse. Nous citons d’après la version d’Ernest Weill, Choulhane Aroukh abrégé, Fondation Sefer, Paris, 1980, p. 81-82.). Quelques principes pratiques, qui semblent plutôt la consécration d’usages traditionnels, sont édictés, mais la plupart, en dehors de la mehitsa, ont surtout une valeur symbolique. (une méhitsa, « séparation »), ici des hommes et des femmes, qui a nécessité la construction de pièces particulières pour les femmes ; dans la plupart des synagogues modernes, elle est obtenue par une surélévation ou une claire-voie.

Ainsi l’orientation de l’arche sainte vers Jérusalem est recommandée, mais en cas d’impossibilité l’édifice n’en est pas moins utilisable, les fidèles se tournant pour certaines prières. Nombre de prescriptions symboliques, comme celle qui voudrait que la synagogue soit l’édifice le plus élevé de la ville, ne purent presque jamais être suivies. Il faudra la réaction orthodoxe du XIXe siècle, face aux tendances réformistes, pour que le respect de certaines règles devienne impératif.

Matthieu 16
1Les pharisiens et les sadducéens abordèrent Jésus et, pour l'éprouver, lui demandèrent de leur faire voir un signe venant du ciel. 2Jésus leur répondit: Le soir, vous dites: Il fera beau, car le ciel est rouge;…

Matthieu 3

1En ce temps-là parut Jean Baptiste, prêchant dans le désert de Judée. 2Il disait: Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche.

3Jean est celui qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète, lorsqu'il dit: C'est ici la voix de celui qui crie dans le désert: Préparez le chemin du Seigneur, Aplanissez ses sentiers.

4Jean avait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. 5Les habitants de Jérusalem, de toute la Judée et de tout le pays des environs du Jourdain, se rendaient auprès de lui; 6et, confessant leurs péchés, ils se faisaient baptiser par lui dans le fleuve du Jourdain.

7Mais, voyant venir à son baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit: Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir ? 8Produisez donc du fruit digne de la repentance, 9et ne prétendez pas dire en vous-mêmes: Nous avons Abraham pour père! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. 10Déjà la cognée est mise à la racine des arbres: tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu.

11Moi, je vous baptise d'eau, pour vous amener à la repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. 12Il a son van à la main (Instrument d'osier pour séparer la paille et l'ordure d'avec le bon grain); il nettoiera son aire, et il amassera son blé dans le grenier, mais il brûlera la paille dans un feu qui ne s'éteint point.

13Alors Jésus vint de la Galilée au Jourdain vers Jean, pour être baptisé par lui. 14Mais Jean s'y opposait, en disant: C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et tu viens à moi! 15Jésus lui répondit: Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. Et Jean ne lui résista plus. 16Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l'eau. Et voici, les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. 17Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.

Jean 15 seul commandement de Jésus!

1Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. 2Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il porte encore plus de fruit. 3Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. 4Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi. 5Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. 6Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent. 7Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. 8Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. 9Comme le Père m'a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour. 10Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j'ai gardé les commandements de mon Père, et que je demeure dans son amour. 11Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.

12C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés.

13Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. 14Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. 15Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. 16Ce n'est pas vous qui m'avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. 17Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres.

18Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous. 19Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. 20Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n'est pas plus grand que son maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s'ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. 21Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu'ils ne connaissent pas celui qui m'a envoyé. 22Si je n'étais pas venu et que je ne leur eusse point parlé, ils n'auraient pas de péché; mais maintenant ils n'ont aucune excuse de leur péché. 23Celui qui me hait, hait aussi mon Père. 24Si je n'avais pas fait parmi eux des oeuvres que nul autre n'a faites, ils n'auraient pas de péché; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père. 25Mais cela est arrivé afin que s'accomplît la parole qui est écrite dans leur loi: Ils m'ont haï sans cause.

26Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l'Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi; 27et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement.

Pierre en Marbre cassée et reprise par deux attaches en fer en bas, avec des caractères en grec, en Hébreux et en Araméen difficilement lisibles, on croit reconnaître sur ces photos la suite en agrandissement sur photoshop, photo tirée comme les autres d'après des diapositives de 1978-79 de Michel-Marie-Dufeil, ancien Séminariste avec une translation numérique, en tout nos avons 7 photos de pierres de marbre sculpté, dont les autres sont en analyse.

Pour celle-ci nous avons reconnaissable : מארי מגדלנה qui signifie "Marie Madeleine" en Hébreux מארי מגדלנה idem en grec : Μαίρη Μαγδαληνή qui signifie "maria magdalena" et en araméen on a : "aloho" (ܐܠܗܐ)qui signifie D.IEU. Hommage à MICHEL-MARIE DUFEIL qui m'a confié ces photos avant de mourir.

Et celle-ci inquiétante du fait de sa dégradation par le temps : photo réduite et non retouchée comme les autres :

Jésus et Marie-Madeleine sur la droite? et la Crypte ?

Autres objets qui prouvent la tour de garde romaine et la clé du premier siècle romaine :

Nous remercions notre talentueux Architecte Denys-Chanson, ci-dessous, à Saint Bauzille de Montmel, sur l'emplacement de la carrière antique pour la construction de la DOMUS ECCLESIAE CHRISTI, qui se trouve à 30m, de nous avoir fourni une partie de son travail pour le dépôt de permis de construire à l'identique de l'Eglise de Marie Madeleine, n'hésitez pas à faire appel à lui pour des formalisations de bâtiments sur le logiciel REVIT 3D.

MMD5MMD8MMD6MMD1

MMD7MMD9

MMD2

Comme nous l'avons déjà expliqué, la DOMUS ECCLESIAE CHRISTI MUNIVIT DU PREMIER SIECLE DE L'APÔTRE DES APÔTRES MYRIAM DE MAGDALA A SAINT BAUZILLE DE MONTMEL EST LA TOUTE PREMIERE DOMUS ECCLESIAE CHRISTI AU MONDE, AYANT SERVI AVEC MARIE-MADELEINE DE L'AN 30 JUSQU'A L'AN 50, DATE DU PREMIER CONCILE DES APÔTRES A JERUSALEM. Ensuite Marie Madeleine s'est faite inquiétée dans ce lieu, et elle est allée dans la région de Rennes le Château, puis elle est retournée dans la grotte de la Sainte Baume à côté de Marseille. Avant d'habiter à Saint Bauzille et pendant la construction, elle séjournait dans une grotte de Marie Madeleine à côté de villeneuve les Maguelone. dans la région de Rennes les Bains et Rennes le Château elle habitait également des grottes. Sa période faste et protégée se situe donc entre 30 et 50, protégée par le Procurateur Romain Ponce Pilatete, qui avait jugé le Christ, et l'avait condamné malgré de nombreuses recommandations, notamment de sa femme Claudia Procula, amie de Myriam de Magdala, mais face à la fureurs de Sanhédrin Juif qui ne voulait pas d'un précédent de Messie ou Maschia, ni de Roi des Juifs, il a été échangé contre la libération d'un brigand. C'est par ailleurs Ponce Pilate qui a aidé les Saintes Maries et des apôtres à s'enfuir, en les emmenant dans sa trirème personnelle, et les a débarqué au lieu dit "les Saintes Maries de la Mer", dans une grande barque sans voile et sans rames, qui s'est échouée au gré du courant. Pour assurer la protection de ce petit groupe il a délégué une de ses contuberium, soit 8 à 10 hommes légionnaires romains de sa propre centurie qui comptait une dizaine de contubernia. Nous avons retrouvé sur le site de Saint Bauzille du matériel de légionnaires en particumier des fibules pour capes ou manteaux romains (sagum).

Il est probable que Ponce Pilate (en latin Pontius Pilatus, en grec ancien Πόντιος Πιλάτος, Póntios Pilátos) qui a occupé la charge de préfet de Judée, s'est établi à Césarée, une ville qui avait remplacé Jérusalem depuis l'an 6 comme capitale administrative et siège militaire de la province.  Il est renvoyé à Rome à la fin de 36 ou au début de 37, pour une raison inconnue, par le proconsul de Syrie Lucius Vitellius, afin de s'expliquer devant l'empereur. Après son arrivée à Rome, l'histoire perd sa trace.

Il est essentiellement connu pour avoir, selon les Évangiles, ordonné à l'issue du procès de Jésus l'exécution et le crucifiement de ce prédicateur juif, ce qui a conféré une notoriété exceptionnelle à ce simple gouverneur de province.

La pauvreté de sources historiques a permis le développement de légendes et de traditions locales à son sujet, telles celles qui veulent qu'il ait été exilé, qu'il ait fini martyr à Rome ou encore qu'il se soit suicidé en Gaule, à Lyon ou à Vienne.

L'Église éthiopienne orthodoxe le vénère comme saint et martyr avec sa femme, tandis que les Églises grecques orthodoxes honorent seulement celle qui, selon la tradition chrétienne, aurait été son épouse sous le nom de Claudia Procula.

Le site de Lattara-Maguelone, ville portuaire romaine, comptait 60000 habitants au premier siècle, elle est devenue Wisogoth ensuite avec un bastion Wisigoth de 400 villas, sur le flanc de la colline de Saint Bauzille de Montmel, au lieu dit Pic Saint Léon le GRAND, Pape du 4ème siècle. Pour la petite histoire ce Pape ne confondait pas la Marie Madeleine prostituée qui verse du parfum sur les pieds du Christ en les essuyant avec sa longue chevelure, Cela vient de Grégoire le Grand au 7ème siècle qui déjà a voulu décrédibiliser Myriam de Magdala. Si l'on compte les 14 locataires des cellules du premier étage, deux cuisinières et un cuisto, 10 gardes, plus un ou deux charetiers pour aller à Lattara, et 2 jardiniers, nous sommes à 30 personnes habitant ce lieu. Les charetiers allaient à Lattara, ramener des romains désirant se convertir, ou chercher des provisions. Des séances de christianisations et d'enseignement avaient lieu au rez de chaussée, dans la Domus Ecclesiaé, qui comportait un autel orienté à l'est et un bain rituel de baptème appelé Mikvé (ou mikveh) (en hébreu : מִקְוָה ; au pluriel : מקואות mikvaot), se trouvant à côté de la citerne, qui était alimentée par l'eau de pluie mais également par une source de type puits artésien, comme il y en a beaucoup au sommet de la colline, mais asséchés du fait du puisage de la Commune. Les candidats à la conversion et au baptême pour devenir chrétien, suite à la rupture de l'accord de D.ieu Miséricordieux avec les Juifs ayant tué par Déïcide, le Fils de D.ieu, se retrouvaient généralement le midi et le matin au restaurant-cantine pour les poses et les discusions sans recueillement. Le total des personnes pouvait atteindre la cinquantaine, et la garde veillait tant que Ponce Pilate a pu la maintenir, et que la pression sur la chasse aux chrétiens et aux marthyrs se relachait. Cet endroit du Languedoc était assez tranquille par rapport aux autres déplacements de Marie Madeleine qui devait impérativement se cacher dans des grottes.

MMD4délégué une

 

HISTOIRE DE L'EGLISE ANTIQUE DE SAINT BAUZILLE DE MONTMEL, PIC SAINT LEON LE GRAND, FOUILLES DEPUIS LE 19ème SIECLE. CETTE FOUILLE EST LA DERNIERE ET DATE DES ANNEES 1973 à 1985. L'ARCHEOLOGUE MICHEL MARIE DUFEIL (1922-1991), ET L'ARCHEOLOGUE JEAN-CLAUDE LOUISTISSERAND DANS LE GROUPE EN PHOTO.

LA GRANDE RUSSIE DU PRESIDENT VLADIMIR POUTINE, ET L'EGLISE ORTHODOXE N'ONT PAS VOULU VENDRE POUR QUE TOUT SOIT RASE, COMME SUR LE TERRAIN LIMITROPHE DE LA MAIRIE, QUI COMPORTAIT DES JOYAUX DE L'EPOQUE ROMAINE ET WISSIGOTH, ET QUI SONT DETRUITS A JAMAIS. ALORS QU'ON NE REMONTAIT PAS A L'EPOQUE ROMAINE AVEC LES PRECEDENTS ARCHEOLOGUES, NOUS AVONS DECOUVERT QUE CE LIEU DATE DU Xème SIECLE, ET ETAIT EN REALITE L'EGLISE PRIMITIVE DE SAINTE MARIE MADELEINE, COMPAGNE DU CHRIST ET DISCIPLE, APPELEE EGALEMENT L'APÔTRE DES APÔTRES. UN AUTEL EST UN MIKVE COURONNE LE TOUT AVEC DES CHOSES QUE NOUS NE POUVONS PUBLIER POUR LE MOMENT TELLEMENT LA DECOUVERTE EST IMPORTANTE. SUR LAOSOPHIE OVERBLOG VOUS DECOUVRIREZ LES ARTEFACTS ROMAINS, ET L'INTENTION DU PRESIDENT POUTINE DE S'Y RENDRE LE 21 JUILLET 2018, POUR CE RECUEUILLIR DANS CETTE DOMUS ECCLESIAE CHRISTI MUNIVIT, LA PREMIERE AU MONDE. EN PLUS DE L'ARCHEOLOGIE, DE L'INFORMATIQUE EN ETANT PARTENAIRE DE MICROSOFT DEPUIS 1977 AVEC LA SOCIETE DATA-SOFT, Mr LOUISTISSERAND, CHRETIEN CATHOLIQUE BAPTISE, DE LA FAMILLE DU CARDINAL TISSERANT, A PASSE 10 ANS DANS LA COMMUNAUTE JUIVE DE MONTPELLIER DE 1991 A 2000, AVEC UN VOYAGE EN ISRAËL EN 92, OU IL S'EST FAIT BAPTISE DANS LE JOURDAIN ET EST DEVENU UN CHRETIEN JUIF HAREDI.

MAX LEVITA PEUT EN TEMOIGNER.

Le mikvé (ou mikveh) (en hébreu : מִקְוָה ; au pluriel : מקואות mikvaot) est un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté familiale dans le judaïsme. C'est l'un des lieux centraux de la vie communautaire juive, avec la synagogue et l'école juive (yeshiva). http://laosophie.over-blog.com/2018/01/wwiii-le-president-vladimir-poutine-en-france-pour-le-samedi-21-juillet-2018-a-saint-bauzille-de-montmel.html

Monsieur Louistisserand, en tant que gérant a donné la réponse aux intéressé, concernant la vente du terrain, à son ami Max Levita, ex premier adjoint de la Mairie de Montpellier:

Jc Louis <jclouis88@gmail.com>à:Françoise Matheron <f.matheron@gmail.com>, ambrusfrance@mid.ru, "LEVITA, Max" <max.levita@ville-montpellier.fr> Date:26 juin 2020 19:55

Objet:Fwd: URGENT : Saint-Bauzille de Montmel, Accords non respectés, demandons conciliateur !

Envoyé par:gmail.com A l'attention de Madame La Maire Françoise Matheron et à Monsieur le Ministre de Russie Artem Studennikov,

Bonjour, j'ai bien reçu votre proposition, les parts de propriétés comme vous l'avez appris de Mr Hervé Mathias, qui a joint l'Ambassade Russe de France, sont au nom de la Fédération de Russie, cédées par notre SCI, jusqu'à preuve du contraire, elle n'accepte pas vos propositions actuelles, sauf courriel éventuellement à venir, précisant qu'ils sont prêt à céder ces parts et sous quelles conditions.

Nous vous rappelons que ce terrain est dans les mains de la communauté religieuse et cultuelle, ainsi que dans celles d'architectes des Monuments Historiques et de la Communauté des Archéologues Scientifiques, dont je fais partie, et qu'il devra être clos par vos soins, avec un gardiennage jour et nuit, car vous en assurez la protection et éventuellement les dommages.

Nous rendons hommage au Ministre Mr Artem Studennikov, et au Président de la Grande Russie, Mr Vladimir Poutine, qui a reçu ma demande en direct au Kremlin, enregistrée comme Mr Studennikov pourra vous le confirmer, et qui devait venir sur le terrain, parcelle 258 en 2018, comme les articles de Laosophie, le précisent. Mr Studennikov a quitté l'administration de l'association de Sauvegarde de l'Église Antique de Saint Bauzille de Montmel, en tant que diplomate et sur ma demande, compte tenu que le Président Poutine doit donner sa décision, de garder ce terrain avec l'Eglise Orthodoxe du premier siècle qui s'y trouve et d'en faire cadeau à l'Eglise Orthodoxe où d'en faire cadeau à Saint Bauzille de Montmel, avec ses conditions.

Nous faisons toute confiance dans le Président de la Grande et Sainte Russie, dans le Cœur Immaculé de la Vierge Marie, et en tant que membre de la famille du Cardinal Tisserand et de son successeur le RP Robert Maire Du Poset dont nous détenons les documents qui en prouve son origine, par le Pape Saint Léon le Grand, qui a donné le nom à ce promontoire ou Pic en latin, d'où la désignation Pic Saint Léon.

Nous avons demandé un rendez-vous de conciliation à Monsieur Max Levita, vous devriez avoir notre courriel et les revendications, dans la suite des messages adressés à la Mairie de Montpellier, sinon rdv avec Mr Altrad. Nous avons également demandé à la Fédération de Russie un émissaire pour cette négociation.

Très cordialement Jean-Claude Louistisserand, Ingénieur CNAM et Archéologue ayant travaillé sur le site, avec les responsables des fouilles, dont Mr Michel-Marie Dufeil, qui m'a donné tout son dossier et la capacité de poursuivre par la DRAC. Je vous recommande son ouvrage donnez-nous réception de cet envoi et du PDF Denis-Chanson-3 qu'il contient http://laosophie.chez.com/Sauvegarde-eglise-st-bauz-chanson-3.pdf

 

 

HISTOIRE DE L'EGLISE ANTIQUE DE SAINT BAUZILLE DE MONTMEL, PIC SAINT LEON LE GRAND, FOUILLES DEPUIS LE 19ème SIECLE. CETTE FOUILLE EST LA DERNIERE ET DATE DES ANNEES 1973 à 1985. L'ARCHEOLOGUE MICHEL MARIE DUFEIL (1922-1991), ET L'ARCHEOLOGUE JEAN-CLAUDE LOUISTISSERAND DANS LE GROUPE EN PHOTO.

LA GRANDE RUSSIE DU PRESIDENT VLADIMIR POUTINE, ET L'EGLISE ORTHODOXE N'ONT PAS VOULU VENDRE POUR QUE TOUT SOIT RASE, COMME SUR LE TERRAIN LIMITROPHE DE LA MAIRIE, QUI COMPORTAIT DES JOYAUX DE L'EPOQUE ROMAINE ET WISSIGOTH, ET QUI SONT DETRUITS A JAMAIS. ALORS QU'ON NE REMONTAIT PAS A L'EPOQUE ROMAINE AVEC LES PRECEDENTS ARCHEOLOGUES, NOUS AVONS DECOUVERT QUE CE LIEU DATE DU Xème SIECLE, ET ETAIT EN REALITE L'EGLISE PRIMITIVE DE SAINTE MARIE MADELEINE, COMPAGNE DU CHRIST ET DISCIPLE, APPELEE EGALEMENT L'APÔTRE DES APÔTRES. UN AUTEL EST UN MIKVE COURONNE LE TOUT AVEC DES CHOSES QUE NOUS NE POUVONS PUBLIER POUR LE MOMENT TELLEMENT LA DECOUVERTE EST IMPORTANTE. SUR LAOSOPHIE OVERBLOG VOUS DECOUVRIREZ LES ARTEFACTS ROMAINS, ET L'INTENTION DU PRESIDENT POUTINE DE S'Y RENDRE LE 21 JUILLET 2018, POUR CE RECUEUILLIR DANS CETTE DOMUS ECCLESIAE CHRISTI MUNIVIT, LA PREMIERE AU MONDE. EN PLUS DE L'ARCHEOLOGIE, DE L'INFORMATIQUE EN ETANT PARTENAIRE DE MICROSOFT DEPUIS 1977 AVEC LA SOCIETE DATA-SOFT, Mr LOUISTISSERAND, CHRETIEN CATHOLIQUE BAPTISE, DE LA FAMILLE DU CARDINAL TISSERANT, A PASSE 10 ANS DANS LA COMMUNAUTE JUIVE DE MONTPELLIER DE 1991 A 2000, AVEC UN VOYAGE EN ISRAËL EN 92, OU IL S'EST FAIT BAPTISE DANS LE JOURDAIN ET EST DEVENU UN CHRETIEN JUIF HAREDI.

MAX LEVITA PEUT EN TEMOIGNER.

Le mikvé (ou mikveh) (en hébreu : מִקְוָה ; au pluriel : מקואות mikvaot) est un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté familiale dans le judaïsme. C'est l'un des lieux centraux de la vie communautaire juive, avec la synagogue et l'école juive (yeshiva). http://laosophie.over-blog.com/2018/01/wwiii-le-president-vladimir-poutine-en-france-pour-le-samedi-21-juillet-2018-a-saint-bauzille-de-montmel.html

Monsieur Louistisserand, en tant que gérant a donné la réponse aux intéressé, concernant la vente du terrain, à son ami Max Levita, ex premier adjoint de la Mairie de Montpellier:

Jc Louis <jclouis88@gmail.com>à:Françoise Matheron <f.matheron@gmail.com>, ambrusfrance@mid.ru, "LEVITA, Max" <max.levita@ville-montpellier.fr> Date:26 juin 2020 19:55

Objet:Fwd: URGENT : Saint-Bauzille de Montmel, Accords non respectés, demandons conciliateur !

Envoyé par:gmail.com A l'attention de Madame La Maire Françoise Matheron et à Monsieur le Ministre de Russie Artem Studennikov,

Bonjour, j'ai bien reçu votre proposition, les parts de propriétés comme vous l'avez appris de Mr Hervé Mathias, qui a joint l'Ambassade Russe de France, sont au nom de la Fédération de Russie, cédées par notre SCI, jusqu'à preuve du contraire, elle n'accepte pas vos propositions actuelles, sauf courriel éventuellement à venir, précisant qu'ils sont prêt à céder ces parts et sous quelles conditions.

Nous vous rappelons que ce terrain est dans les mains de la communauté religieuse et cultuelle, ainsi que dans celles d'architectes des Monuments Historiques et de la Communauté des Archéologues Scientifiques, dont je fais partie, et qu'il devra être clos par vos soins, avec un gardiennage jour et nuit, car vous en assurez la protection et éventuellement les dommages.

Nous rendons hommage au Ministre Mr Artem Studennikov, et au Président de la Grande Russie, Mr Vladimir Poutine, qui a reçu ma demande en direct au Kremlin, enregistrée comme Mr Studennikov pourra vous le confirmer, et qui devait venir sur le terrain, parcelle 258 en 2018, comme les articles de Laosophie, le précisent. Mr Studennikov a quitté l'administration de l'association de Sauvegarde de l'Église Antique de Saint Bauzille de Montmel, en tant que diplomate et sur ma demande, compte tenu que le Président Poutine doit donner sa décision, de garder ce terrain avec l'Eglise Orthodoxe du premier siècle qui s'y trouve et d'en faire cadeau à l'Eglise Orthodoxe où d'en faire cadeau à Saint Bauzille de Montmel, avec ses conditions.

Nous faisons toute confiance dans le Président de la Grande et Sainte Russie, dans le Cœur Immaculé de la Vierge Marie, et en tant que membre de la famille du Cardinal Tisserand et de son successeur le RP Robert Maire Du Poset dont nous détenons les documents qui en prouve son origine, par le Pape Saint Léon le Grand, qui a donné le nom à ce promontoire ou Pic en latin, d'où la désignation Pic Saint Léon.

Nous avons demandé un rendez-vous de conciliation à Monsieur Max Levita, vous devriez avoir notre courriel et les revendications, dans la suite des messages adressés à la Mairie de Montpellier, sinon rdv avec Mr Altrad. Nous avons également demandé à la Fédération de Russie un émissaire pour cette négociation.

Très cordialement Jean-Claude Louistisserand, Ingénieur CNAM et Archéologue ayant travaillé sur le site, avec les responsables des fouilles, dont Mr Michel-Marie Dufeil, qui m'a donné tout son dossier et la capacité de poursuivre par la DRAC. Je vous recommande son ouvrage donnez-nous réception de cet envoi et du PDF Denis-Chanson-3 qu'il contient http://laosophie.chez.com/Sauvegarde-eglise-st-bauz-chanson-3.pdf

 

rejoingnez-nous sur Framasphère

Laos, le peuple. Ecclesia, l’assemblée. Ce sont deux mots grecs qui nous occupent. Mais il faut être plus précis. Laos, c’est le peuple en tant que foule, masse non organisée, un tas d’individus particuliers. Le laos s’oppose donc au demos, qui est le peuple pris dans sa dimension politique. L’ecclesia, elle, c’est l’assemblée ou la convocation du demos, le peuple certes, mais le peuple appelé car tel est l’étymon de l’église : kaleo, j’appelle, d’où clameur, clairon, clarté, calendes, calendrier, nomenclature, concile, proclamation ou chamade, qui ont tous le même radical indo-européen KLE. L’église c’est donc l’appel au peuple, au laos qui, convoqué, devient demos. Quand l’église a le pouvoir, cela a un nom :démocratie.

Puis vinrent les Septante. La Septante (LXX, latin : Septuaginta) est une version de la Bible hébraïque en langue grecque. Selon une tradition rapportée dans la Lettre d'Aristée (IIe siècle av. J.-C.), la traduction de la Torah aurait été réalisée par 72 (septante-deux) traducteurs à Alexandrie, vers 270 av. J.-C., à la demande de Ptolémée II.
Par extension, on appelle Septante la version grecque ancienne de la totalité des Écritures bibliques (l'Ancien Testament). Le judaïsme n'a pas adopté la Septante, restant fidèle au texte hébreu, et à des traductions grecques ou araméennes (Targoum) plus proches dudit texte.

Ils choisirent laos pour dire le peuple de Dieu, car demos sans doute était trop politique c’est-à-dire, paradoxalement, trop laïque au sens courant d’aujourd’hui : humain, trop humain… C’est ainsi que laïque finit par désigner jadis le peuple chrétien, c’est-à-dire l’Église, l’assemblement des hommes à l’appel du Fils. C’est le premier sens du mot laïque dans nos langues, il convient de ne pas l’oublier. Excusez-moi de remonter aux calendes, c’est-à-dire, comme je viens de le rappeler, à la clameur d’église, au concile divin. Mais nos histoires sont sédimentées dans la langue et il n’y a que des Katherine Weinland pour y voir les couches d’un passé à « dépoussiérer ».

Telle est l’origine du mot laïque : il désigne l’ecclesia, les membres de l’Église ou peuple de Dieu à l’exclusion de ceux qui, ayant entendu un Appel plus pressant, sont devenus clercs, c’est-à-dire – j’y reviendrai – séparés. Clergé régulier, clergé séculier et laïcs, tous membres de l’Église, c’est de là qu’il faut partir.

Vous me direz que les mots ont changé de sens et que laïcité désigne pour nous, aujourd’hui, la séparation du politique et du religieux. Voire. Cette histoire-là aussi est bien ancienne. Ce n’est pas la Troisième République, ni même Condorcet, qui ont inventé la chose. Elle remonte à 586 avant Jésus-Christ, première destruction du Temple. Privés de pouvoir politique, les Juifs ont attendu jusqu’en 1947 pour pouvoir construire, quoi ? un état laïque, le seul de la région avec la parenthèse irakienne, qui n’en a plus pour très longtemps. Pendant 2533 ans, le peuple élu a vécu la séparation du politique et du religieux, non sans souffrances, on le sait. Sans Juges et sans Rois. Avec pour seul appui, la promesse du Livre.

Et les chrétiens eux-mêmes n’ont-ils pas eu pour mot d’ordre la séparation, le partage des Royaumes ? A César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu, parole du Christ. Et qu’est-ce qu’un clerc ? Un séparé par le sort, kleros, par le coup tiré. On est prêtre par un coup du sort, un appel. Kolaphos en grec, colpus en latin, golpe en espagnol, le coup, le couperet, la coupure : c’est l’étymologie de clergé, des séparés à l’intérieur même du laos chrétien.

La confessionnalisation des états contre quoi se sont battus les partisans de la laïcité au sens contemporain est chose beaucoup plus récente. Elle commence dans les années 1560-1570 dans une Europe ravagée par les guerres de religion. Réforme et Contre-Réforme. Cujus regio ejus religio, un autre partage, une autre séparation, politique et géographique (roi et région ont même étymon) pour mettre fin à la guerre civile des religions. Quoi que nous puissions en penser aujourd’hui, ce fut une bonne chose, la meilleure dans le meilleur des mondes, au sens leibnizien bien sûr. Puis vinrent les Lumières. Certains pensèrent qu’il convenait de séparer ce qui venait d’être uni deux siècles avant : l’Église et l’État. Pourquoi pas ? La guerre ne menaçait plus entre catholiques et protestants et l’alliance du trône et de l’autel, du sabre et du goupillon, présentait plus d’inconvénients désormais que d’avantages. Mais il est une chose que les plus républicains d’entre nous ne devraient point oublier : l’Europe des États n’existerait pas, faute d’États, s’il n’y avait d’abord eu ce processus de confessionnalisation. Louis XIV, celui qui révoqua l’Édit de Nantes, fut le premier Jacobin.

Tout ce que je viens de dire est histoire faite, finie. Elle ne se répètera pas. Jamais le temps ne revient sur ses pas. Mais il convenait, je crois, de le dire. Car nous parlons de choses qui s’inscrivent dans la longue, la très longue, durée. Il faudrait en retenir au moins ceci : le laos d’aujourd’hui n’est certes plus le laos athénien ni celui des Septante mais il n’est pas davantage celui de Combes ou de Condorcet. La confessionnalité des États n’est plus et, par conséquent, la laïcité à l’ancienne a cessé, elle aussi, d’avoir place dans la polis démocratique. Reste le laos, car c’est toujours lui, le problème. La démocratie peut être détruite, on en a maint exemple. Mais pas la laocratie. Le peuple en tant que laos ne peut être dissous puisqu’il l’est déjà, atomisé, non assemblé par un Appel symbolique.Le pire ennemi du peuple, c’est devenu le peuple lui-même, le laos qui est en train de défaire le demos au sein même des démocraties contemporaines.

On commence à peine à mesurer l’impact de la fin du communisme. Repoussoir pour les uns, espoir pour les autres, peu importe. Mais ce qui est sûr, c’est qu’à deux siècles exactement de distance, la chute du Mur de Berlin a répondu à la Prise de la Bastille, bouclant ainsi la boucle de la Révolution. Or la Révolution aura été, au cours de ces deux siècles, la clameur du laos. Un opérateur symbolique qui, comme le montre Milner, a permis pour la première fois de penser ensemble la révolte et la pensée. « Révoltes logiques », avait dit Rimbaud, repris par Rancière. « On a raison de se révolter », clamions-nous naguère, et déjà en vain, aux portes des usines.

Faute de messianisme révolutionnaire, on nous appelle à la grand messe du marché. C’est cela, l’individualisation des conduites et des comportements, inséparable de la nouvelle démocratie : triomphe du laos, en tant qu’il signifie l’éparpillement du demos. Et ce processus affecte pareillement toutes nos institutions, l’État, l’Église, l’École, les députés et les ministres, les prêtres et les professeurs, progressivement remplacés par les démagogues du sondage d’opinion, les funambules de la foi et les gourous de la pédagogie. Ce processus s’appuie sur l’effondrement des structures symboliques de la culture et promeut le présent sans ancrage d’un imaginaire où l’individu se croit d’autant plus lui-même qu’il ressemble comme une goutte à son alter ego dans le miroir : de là qu’on puisse si facilement passer de l’individualisme au communautarisme, de la certitude de soi à la noyade dans la secte, du mirage de l’identité personnelle à l’illusion identitaire dans un demos d’emprunt.

Il y a aussi un imaginaire de la laïcité et je ne suis pas sûr que nous en soyons tous conscients. Il s’appuie comme tout imaginaire sur un manque à savoir. Ignorance de l’anthropologie, ignorance de l’histoire. Prétendre que l’État ou l’École n’ont rien à connaître d’un religieux qui relèverait des convictions personnelles des individus, est une aberration anthropologique : il est évident que toute religion est, et ne peut être, que publique. C’est un phénomène collectif par définition, le noyau dur des cultures. Et il n’y a que les chrétiens d’aujourd’hui pour y voir, à cause de la problématique du salut individuel, une affaire qui se règle, à l’intérieur de la conscience de chacun, entre la personne et son Dieu : car même les catholiques sont en train de devenir protestants. Prétendre que la loi de 1905 ne laisse en face à face que l’État d’un côté et, de l’autre, une poussière de croyants individuels est une erreur historique. On confond alors la tentative avortée des thermidoriens et la loi de séparation de la Troisième République : car celle-ci ne fait pas de la religion le produit des croyances personnelles des individus, hors institution ; elle range l’institution de l’Église dans la société civile, ce qui n’est pas du tout la même chose.

« On peut tout enseigner », disait Condorcet. Tout ce qui est de l’ordre du savoir, bien sûr. Je ne vois donc pas pourquoi l’école ne devrait pas enseigner les savoirs que, sur le phénomène religieux, l’anthropologie, l’histoire et même la théologie ont permis d’accumuler au long des siècles. On peut discuter des modalités, bien sûr. Mais sur le principe lui-même, je ne vois pas en quoi la laïcité de l’école trouverait à y perdre. Bien au contraire. Je pense même qu’il s’agit d’une nécessité d’autant plus impérieuse que l’Église, enfoncée dans la même crise que l’école, semble vouloir renoncer à transmettre son propre savoir.

Tout enseigner oui, mais seulement ce qui est enseignable, des savoirs. C’est-à-dire ce qui se construit contre le sens. Lévi-Strauss l’a bien montré : tout savoir, même le plus primitif, s’est toujours construit contre l’imaginaire du sens. Et s’il y a aujourd’hui une infiltration du religieux dans l’école c’est à l’espéranto sans couleur des pédagogues que nous le devons. Aux gourous de la pédagogie. Je veux parler de cette chansonnette du sens qu’il faudrait donner aux savoirs. La dation du sens, tel est aujourd’hui le nouveau catéchisme. Or le sens n’a pas à être donné puisqu’il est du déjà-là, effet imaginaire de l’organisation symbolique des signifiants. C’est du déjà donné pour l’infans. En psychanalyse, l'infans, terme de Sándor Ferenczi, désigne l'enfant qui n'a pas encore acquis le langage, francisation du latin infans, infantis, désignant le très jeune enfant qui ne parle pas. Formé de in- préfixe négatif et du participe présent de fari « parler », cette racine se retrouve dans aphasie, fable, par exemple. Et ce, dès la première articulation des signifiants de la langue : O-A, le fort-da freudien, celui qui fait sens pour le petit Hans et lui permet de contrôler avec sa bobine les éclipses maternelles. Contrôle aussi imaginaire bien sûr que celui qu’exerce par sa prière ou ses œuvres tout bon catholique sur la grâce de Dieu. Faire du maître un intercesseur, c’est-à-dire un prêtre, chargé de donner à l’élève le sens des savoirs, construire un face à face imaginaire entre le professeur et l’élève tous deux victimes de la fascination du sens, est une opération religieuse en tant que telle. Elle empêche toute transmission des savoirs, puisque le sens ce n’est pas ce dont on manque, bien au contraire. Du sens, il y en a toujours à revendre, il prolifère de lui-même et c’est contre la surabondance du sens que l’humanité a patiemment réussi à construire au long des millénaires cet édifice des savoirs aujourd’hui en péril. Défendre toujours et en toutes circonstances l’autonomie des savoirs, et donc des disciplines, contre la religiosité diffuse de la dation de sens, tel devrait être aujourd’hui le premier objectif stratégique de la nouvelle laïcité. Car le fondement philosophique de la pédagogie du sens n’est autre que la phénoménologie chrétienne de la conscience.

Que nous est-il permis d’espérer ? un trait de lumière dans cette grisaille, la force de penser, dans une configuration non révolutionnaire, la conjonction de la révolte et de la pensée, un opérateur symbolique refondant un demos, un peuple à venir au lieu de ce qui nous afflige : une religiosité sans église ni clameur, l’idiotie d’un laos sans appel. C’était mon appel au peuple.

Le dème (en grec ancien δῆμος / dêmos) est une circonscription administrative de base instaurée lors de la révolution isonomique de Clisthène qui eut lieu de 508 ou507 à 501 av. J.-C. à Athènes. Le dème est directement lié à la marche d'Athènes vers la démocratie.
Étymologie: de dêmos*, « peuple » et kratos, « puissance », « souveraineté ». Régime politique fondé sur le principe que la souveraineté appartient à l'ensemble des citoyens , soit directement (par des référendums) soit indirectement par l'intermédiaire de ses représentants élus. Les élections doivent se tenir au suffrage universel, de façon régulière et fréquente
La démocratie suppose l'existence d'une pluralité d'options et de propositions, généralement incarnées dans des partis et des leaders ayant la liberté de s'opposer et de critiquer le gouvernement ou les autres acteurs du système politique. Les partis sont devenus au fil des ans, des alliances non démocratiques, qui n’ont pas à rendre de comptes aux Citoyens, à tel point que le sulfureux Queuille, montre bien la limite de la Démocratie avec les partis. En fait les partis sont unne aberration du mode Démocratique. Il faut y substituer des alliances avec l’obligation pour les signataires de remplir leur feuille de route avec un échéancier précis. 


« Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. »


Cette petite phrase, oh combien d’actualité, est pourtant due à un homme politique. Elle est du petit père Queuille, en réalité Henri Queuille, plusieurs fois président du conseil (même pendant deux jours en 1950) et également ministre des finances et de l’intérieur sous la 3eme république. Il fut même ministre et secrétaire d’Etat plus de trente fois ! Un véritable professionnel de la machine politique, et sa fameuse petite phrase est incontestablement le fruit d’une expérience professionnelle riche.
Une démocratie existe donc qu'en autant qu'on y trouve «une organisation constitutionnelle de la concurrence pacifique pour l'exercice du pouvoir» (Raymond Aron).

La démocratie exige aussi que les grandes libertés soient reconnues: liberté d'association, liberté d'expression et liberté de presse. Juridiquement, une démocratie s'inscrit dans un État de droit; culturellement, elle nécessite une acceptation de la diversité.

Les Illuminati sont une “élite dans l’élite”. C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations. Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. C'est l'émanation ultime de la Franc-Maçonnerie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

La création des Illuminati marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est “occulte”.

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes tel que les Skull and bones où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité.

Leurs agents sont éduqués et entraînés pour être placés dans les coulisses à tous les niveaux de gouvernements. En tant qu’experts et conseillers, ils forment les politiques gouvernementales afin de faire avancer leur plans secrets.

Ils demeurent toujours dans l’obscurité et l’anonymat, et généralement personne ne les soupçonne. Ils utilisent tous les peuples pour servir leurs desseins machiavéliques. Ils divisent pour mieux régner, fournissent les armes et de l’argent aux deux côtés d’une guerre, encourageant les gens à se battre et s’entre-tuer, dans le but d’atteindre leurs objectifs. Ils encouragent le terrorisme et la guerre atomique et provoquent délibérément les famines mondiales. Leur premier but est de former un gouvernement mondial pour avoir le contrôle complet du monde entier, en détruisant toutes les religions et tous les gouvernements.

De nombreuses guerres, y compris la Révolution française, les guerres mondiales, aurait été organisées par les Illuminati, qui opéraient sous différents noms et déguisements. Annie Lacroix-riz, historienne, souligne d’ailleurs très bien ces manipulations dans son livre “le choix de la défaite” en amassant de très nombreuses et solides preuves issu des archives de guerres.

La troisième guerre mondiale devra être fomentée en utilisant l’opposition entre les sionistes (les partisans de l’Etat d’Israël) et le monde musulman. Cette guerre sera dirigée de sorte que l’Islam et Israël se détruiront mutuellement, tandis que le reste des nations du globe, divisées sur cette question, seront forcées d’embarquer aussi dans cette guerre, jusqu’à l’épuisement physique, mental, spirituel et économique complet. Tout sera alors mis en place pour l’établissement d’un gouvernement mondial.

réalité ou folie ? le futur nous le montrera mais il faut souligner que ces dernières années, de très nombreuses preuves de manipulation, de fuites, de complot révélés au grand jour ou de mensonges organisés nous indique clairement que la réalité se mêle intimement à cette folie. Les nombreuses pièces du puzzle semblent étrangement s’assembler pour former un “tout” cohérent.

Source : http://www.prolognet.qc.ca/clyde/illumina.htm

Source : http://www.syti.net

Influence de la Franc-maçonnerie

Ce groupe réuni tous ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple, avec Dieu comme Partenaire, ce qui n'est pas le cas dans la Démosophie.

Platon marque les débuts de la philosophie SECTION PHILOSOPHIQUE sur la LAOSOPHIE gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le Peuple

Constitution Française Article 2

Article 2

La langue de la République est le français.

L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.

L'hymne national est la "Marseillaise".

La devise de la République est "Liberté, Egalité, Fraternité".

Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.

Platon marque les débuts de la philosophie en tant que connaissance rationnelle du monde avec le Libre Arbitre des Hommes grâce à DIEU. Il avait été précédé par d'autres philosophes dont SAPPHO de MYTHYLENE, au 7ème siècle avant notre ère. Dans un certain sens, on peut dire que toute la philosophie n'est, par la suite, qu'une tentative de répondre aux questions qu'il avait posé/ Le platonisme garde toutefois un aspect mystique, ce qui lui valut d'être "adopté" par les premiers penseurs chrétiens. L'influence de Platon fut toutefois supplantée par celle de son élève Aristote, philosophe plus logique et "terre à terre", pendant le moyen âge. Sa philosophie fut redécouverte par la Renaissance humaniste et on peut considérer la philosophie de Descartes comme un retour à "Platon" après des siècles d'Artistotélisme. Le concept de la Démosophie est attribué à Michel TOZZI en 1970 repris par Eric Fiorile beaucoup plus tard en 1993, et se l'est attribué.

A15

Platon naît à Athènes d'une famille aristocratique. En -407, il rencontre Socrate, dont il suivra l'enseignement pendant huit années. Platon se destinait aux affaires politiques, mais la condamnation à mort de Socrate en -399 par les démocrates le détourne de ce projet. Il n'assiste pas derniers moments du philosophe et quitte Athènes. De cette époque date son projet de repenser les problèmes politiques. Il effectue une série de voyages, se rend en Italie où il rencontre les pythagoriciens.

De -388 à sa mort, Platon oscille entre Athènes et la Sicile. Il veut convertir le tyran Denys 1er, l'ancien à ses idées politicophilosophiques, mais il se brouille avec lui, est exilé et même vendu comme exclave. En - 387, racheté et libéré, Platon revient à Athènes et fonde l'Académie, première grande école de l'Antiquité. Après des rappels et exils successifs en Sicile, il meurt à Athènes en - 347.

Avant Socrate, les philosophes "pré-socratiques" sont des philosophes de la nature. Ils s'intéressent surtout à l'analyse physique du monde. Au temps de Platon, Athènes est encore une cité à son apogée (héritage du "siècle de Périclès). La vie culturelle se concentre autour d'Athènes où la démocratie voit le jour. Il est nécessaire d'éduquer le peuple. Des philosophes - les sophistes - vont "enseigner" aux citoyens riches. Ils critiques les mythologies et s'intéressent à l'Homme dans la société. Pour eux, le Bien et le Vrai ne sont pas des normes absolues ; ce qui compte ce sont les besoins de l'Être humain.

Face aux riches sophistes, Socrate proclame que la connaissance ne s'enseigne pas. La vraie connaissance vient de l'intérieur et l'Homme peut accéder aux vérités philosophiques s'il se sert de la raison. Sa mort affecte Platon, qui y voit une contradiction fondamentale : la réalité de la société s'oppose à la Vérité de l'Idée, qui doit empêcher une cité de condammenr à mort les Hommes les plus justes.

Les ouvrages : Gorgias (v-387) Dans ce dialogue, Platon s'élève contre la rthétoirque, art mensonger, qui abuse de la puissance des mots et donne le pouvoir aux tyrans. Il lui oppose la philosophie, dont le but est de rendre le peuple meilleur.

Ménon (v - 387) Après le Protagoras, une oeuvre de jeunesse, Platon tente de définir ce qu'est la vertu et si elle peut s'enseigner.

Phédon ( v -385) Ce dialogue met en scène les derniers instants de Socrate. Avant de boire la ciguë, Socrate expose à ses disciples sa croyance en l'immortalité de l'âme.

Le Banquet (v-385) Cet ouvrage fondamental de Platon traite de l'amour. Le philosophe y évoque le mythe des Androgynes : autrefois, les êtres humains possédaient les deux sexes. Mais Zeus, pour les punir d'avoir cherché à escalader le ciel, les sépara en deux. Depuis, chaque moité recherche l'autre.

La République (entre -385 et - 370) C'est sans doute l'oeuvre majeure de Platon. A partir d'une définition de lajustice, Platon tente de déterminer ce que serait le gouvernement idéal. Il distingue trois classes de citoyens et analyse les différents types de régimes politiques. Pour se rapprocher du gouvernement idéal, la cité devrait se doter d'un philosophe-roi. De la politique, Platon passe à la métaphysique. Il établit la distinction entre un monde intelligible et un monde sensible, pose le Bien comme valeur suprême et illustre sa théorie par la fameuse allégorie de la caverne.

Théétète (v-368) Platon tente de démontrer qu'une connaissance objective est possible, contrairement aux philosphes qui affirmaient la relativité de toute science, comme le sophiste Protagoras ou Héraclite. Parménide (v-367) Dans cet ouvrage, l'un des plus techniques de Platon, le PHilosophe tente de répondre aux critiques qu'à suscitées sa théorie des Idées. Il examine en particulier quel est le rapport entre les Idées et les choses.